Sur fond de Seconde Guerre mondiale et d'une France de l'après-guerre, ce beau volume en partie inédit révèle un Boris Vian tour à tour facétieux, amoureux, tendre, corrosif et combatif.
Boris Vian a beaucoup écrit. 10 000 pages ont été publiées, restait en suspens la correspondance.
Dans les échanges avec sa première épouse Michelle se dessinent notamment l'univers de Saint-Germain-des-Prés, celui de Saint-Tropez avec ses clubs et ses personnalités hautes en couleur. Les copains - écrivains, jazzmen ou artistes - deviennent source d'inspiration, voire des personnages de son oeuvre. Boris Vian leur écrit, mais répond aussi continuellement aux missives d'admiratrices, de lecteurs anonymes passionnés de musique et aux journalistes qui n'aiment pas son style.
Quant à la séquence familiale inédite qui ouvre cet ouvrage, elle résonne avec une puissance singulière. Les lettres à sa mère, surnommée Pouche, alors qu'il est en première année de l'École centrale, sont particulièrement touchantes, comme ses charmants échanges plus tard avec ses deux enfants, Patrick et Carole.
Ses lettres d'amour nous bouleversent, qu'elles soient coquines, drôles ou poétiques. Et puis un jour le premier amour disparaît pour refleurir ailleurs, avec Ursula, son Ourson.
Si l'on connaissait son esprit facétieux et provocateur, cette correspondance révèle l'humeur parfois assombrie d'un homme qui se sait malade depuis l'adolescence et qui vit différemment. Ressort quelquefois le ton d'un écrivain blessé de ne pas avoir été compris ni sous son nom ni sous celui de Vernon Sullivan. Même si Simone de Beauvoir lui écrit avoir aimé « en gros et en détail » L'Écume des jours ou que Raymond Queneau le soutient contre vents et marées.
Boris Vian (1920-1959) passa comme un météore au milieu de notre siècle, laissant une trace éblouissante, énigmatique et inspiratrice. Dressé dans sa jeunesse insolente et éternelle, chantre des délires et des merveilles, alchimiste fécond du langage et des formes, messager audacieux de l'imaginaire, il nous offre des milliers de pages (roman, poésie, théâtre, critique, etc...) inspirées par la poésie des extrêmes et témoignant d'une volonté farouche de créer et de partager.
Cette oeuvre énorme, méconnue ou mal jugée du vivant de l'auteur, mais consacrée désormais par la gloire populaire, la voici pour la première fois rassemblée en quinze volumes, en un ordre à la fois générique et chronologique, avec un texte plus fidèle à l'écriture originelle. Cette collection, hommage éclatant à un écrivain majeur, propose aux lecteurs d'entrer dans le XXIe siècle avec des rires et des larmes, la conscience d'une apocalypse intime démentie par l'opiniâtre joie de vivre.
Oeuvres romanesques 1 Pour ses premiers textes romanesques (1942-1946), Vian se lance allègrement dans la parodie. Son Conte de fées déjanté moque le genre tout en bénéficiant de sa gratuité. Trouble dans les andains introduit le Major, dans des aventures de B.D. mêlant la gauloiserie à la chasse au trésor. Vercoquin et le plancton chante l'épopée des zazous, des ingénieurs de bureau et des surprises-parties. J'irai cracher sur vos tombes, fausse traduction d'un pseudo-Américain, canular littéraire mais puissant fantasme érotico-sanglant, est un vrai thriller sur le racisme aux U.S.A.
Gilbert Pestureau Conte de fées à l'usage des moyennes personnes Trouble dans les andains Vercoquin et le plancton J'irai cracher sur vos tombes
Boris Vian (1920-1959) passa comme un météore au milieu de notre siècle, laissant une trace éblouissante, énigmatique et inspiratrice. Dressé dans sa jeunesse insolente et éternelle, chantre des délires et des merveilles, alchimiste fécond du langage et des formes, messager audacieux de l'imaginaire, il nous offre des milliers de pages (roman, poésie, théâtre, critique, etc...) inspirées par la poésie des extrêmes et témoignant d'une volonté farouche de créer et de partager.
Cette oeuvre énorme, méconnue ou mal jugée du vivant de l'auteur, mais consacrée désormais par la gloire populaire, la voici pour la première fois rassemblée en quinze volumes, en un ordre à la fois générique et chronologique, avec un texte plus fidèle à l'écriture originelle. Cette collection, hommage éclatant à un écrivain majeur, propose aux lecteurs d'entrer dans le XXIe siècle avec des rires et des larmes, la conscience d'une apocalypse intime démentie par l'opiniâtre joie de vivre.
Oeuvres romanesques 2 Deux chefs-d'oeuvre et un grand Sullivan (1947-1949). Très vite, Vian a formé son style pour organiser le jaillissement de son inspiration. L'Écume des jours fonde sa gloire depuis les années soixante, fiction née du jazz, de la jeunesse immortelle et pourtant de la mort implacable. Dans Les Fourmis, la farce surgit du drame, le grinçant croise le poignant, l'humour froid tient à distance les émotions. Les morts ont tous la même peau reprend le thème du racisme aux U.S.A. avec ses conséquences destructrices ; il est complété d'une nouvelle qui célèbre l'union d'Éros et Thanatos.
Gilbert Pestureau L'Écume des jours Les Fourmis Les morts ont tous la même peau Les Chiens, le désir et la mort
Boris Vian (1920-1959) passa comme un météore au milieu de notre siècle, laissant une trace éblouissante, énigmatique et inspiratrice. Dressé dans sa jeunesse insolente et éternelle, chantre des délires et des merveilles, alchimiste fécond du langage et des formes, messager audacieux de l'imaginaire, il nous offre des milliers de pages (roman, poésie, théâtre, critique, etc...) inspirées par la poésie des extrêmes et témoignant d'une volonté farouche de créer et de partager.Cette oeuvre énorme, méconnue ou mal jugée du vivant de l'auteur, mais consacrée désormais par la gloire populaire, la voici pour la première fois rassemblée en quinze volumes, en un ordre à la fois générique et chronologique, avec un texte plus fidèle à l'écriture originelle. Cette collection, hommage éclatant à un écrivain majeur, propose aux lecteurs d'entrer dans le XXIe siècle avec des rires et des larmes, la conscience d'une apocalypse intime démentie par l'opiniâtre joie de vivre. Oeuvres romanesques 3Entrepris aussitôt après L'Écume des jours, L'Automne à Pékin contraste avec la simplicité lumineuse de celui-là ; ce roman, le plus complexe de Vian, sorte de fable initiatique ou de Nouveau Roman pataphysique, conte un voyage aventureux, farceur et tragique, où un lieu magique accueille l'énigme de multiples destins croisés.Parallèlement Vernon Sullivan poursuit sa création canularesque avec Et on tuera tous les affreux, mêlant cette fois la science-fiction au thriller érotique en un délire joyeux et prémonitoire. Avec ces deux chefs-d'oeuvre, voici le début d'un roman abandonné, Les Casseurs de Colombes, où un bus de banlieue prend le large vers l'infini... L'automne à PékinEt on tuera tous les affreuxLes Casseurs de Colombes
Boris Vian (1920-1959) passa comme un météore au milieu de notre siècle, laissant une trace éblouissante, énigmatique et inspiratrice. Dressé dans sa jeunesse insolente et éternelle, chantre des délires et des merveilles, alchimiste fécond du langage et des formes, messager audacieux de l'imaginaire, il nous offre des milliers de pages (roman, poésie, théâtre, critique, etc...) inspirées par la poésie des extrêmes et témoignant d'une volonté farouche de créer et de partager.Cette oeuvre énorme, méconnue ou mal jugée du vivant de l'auteur, mais consacrée désormais par la gloire populaire, la voici pour la première fois rassemblée en quinze volumes, en un ordre à la fois générique et chronologique, avec un texte plus fidèle à l'écriture originelle. Cette collection, hommage éclatant à un écrivain majeur, propose aux lecteurs d'entrer dans le XXIe siècle avec des rires et des larmes, la conscience d'une apocalypse intime démentie par l'opiniâtre joie de vivre. Oeuvres romanesques 4Les brillants adieux de Vian au roman...Contre les éditeurs hostiles et les censeurs stupides, il persévère à créer des fables hors du commun, croisant la science-fiction et l'auto-analyse dans l'Herbe rouge, épopée intime, ironique et désespérée ; ou le fantastique ethnologique, la névrose maternelle et la quête d'une vraie vie dans l'Arrache-coeur : la cruelle dérive d'êtres vides ou trop pleins d'amour contraste avec la puissance magique de l'enfance. Sullivan cependant signe une ultime farce burlesque, excessive et saignante : Elles se rendent pas compte.Un fragment inédit de trois chapitres complète ce volume illustrant l'imagination irrépressible et l'univers étrange d'un romancier méconnu de son vivant, mais heureusement redécouvert et célébré depuis quarante ans. Gilbert Pestureau L'Herbe rougeElles se rendent pas compteL'Arrache-coeurChronique de Pierremort
Boris Vian (1920-1959) passa comme un météore au milieu de notre siècle, laissant une trace éblouissante, énigmatique et inspiratrice. Dressé dans sa jeunesse insolente et éternelle, chantre des délires et des merveilles, alchimiste fécond du langage et des formes, messager audacieux de l'imaginaire, il nous offre des milliers de pages (roman, poésie, théâtre, critique, etc...) inspirées par la poésie des extrêmes et témoignant d'une volonté farouche de créer et de partager.Cette oeuvre énorme, méconnue ou mal jugée du vivant de l'auteur, mais consacrée désormais par la gloire populaire, la voici pour la première fois rassemblée en quinze volumes, en un ordre à la fois générique et chronologique, avec un texte plus fidèle à l'écriture originelle. Cette collection, hommage éclatant à un écrivain majeur, propose aux lecteurs d'entrer dans le XXIe siècle avec des rires et des larmes, la conscience d'une apocalypse intime démentie par l'opiniâtre joie de vivre. Poèmes, nouvelles, chroniques romancées Ce volume enrichi d'inédits illustre les talents multiples de Vian écrivain, à travers toutes les années de sa création littéraire, de 1940 à 1959. Cinq recueils regroupent sa production poétique, si contrastée, du caustique au lyrique, du burlesque à l'angoisse poignante. Vingt-neuf nouvelles éparses du vivant de l'auteur font ensuite éclater sa réussite dans cette forme brève si bien adaptée à son écriture enlevée et tonique, avec le même mélange détonant de comique et d'horreur, de cruauté et d'émotion que dans Les Fourmis (tome II). Un ensemble de chroniques romancées complète ce volume, transposition fantaisiste de la vie quotidienne sous un regard tendre ou décapant. Cent sonnetsBarnum's DigestCantilènes en geléePoèmes diversDernier recueilNouvelles inédites ou publiées en revueChroniques romancées
Boris Vian (1920-1959) passa comme un météore au milieu de notre siècle, laissant une trace éblouissante, énigmatique et inspiratrice. Dressé dans sa jeunesse insolente et éternelle, chantre des délires et des merveilles, alchimiste fécond du langage et des formes, messager audacieux de l'imaginaire, il nous offre des milliers de pages (roman, poésie, théâtre, critique, etc...) inspirées par la poésie des extrêmes et témoignant d'une volonté farouche de créer et de partager.Cette oeuvre énorme, méconnue ou mal jugée du vivant de l'auteur, mais consacrée désormais par la gloire populaire, la voici pour la première fois rassemblée en quinze volumes, en un ordre à la fois générique et chronologique, avec un texte plus fidèle à l'écriture originelle. Cette collection, hommage éclatant à un écrivain majeur, propose aux lecteurs d'entrer dans le XXIe siècle avec des rires et des larmes, la conscience d'une apocalypse intime démentie par l'opiniâtre joie de vivre. Jazz 2 Avec ce deuxième ensemble de chroniques de jazz, Boris Vian poursuit sa tâche d'information et d'éducation pour le monde francophone, les lecteurs de Combat (articles variés) pour qui il éclaire par exemple le débat sur le be-bop, et les amateurs de disques de Jazz Hot. Mais il le fait aussi, humoristiquement et sérieusement à la fois, pour les auditeurs d'outre-Atlantique qui partagent sa passion. Dans ses enregistrements à destination de l'Amérique (1947-1948), il illustre l'histoire du jazz en France des années trente aux années quarante : ces textes d'un anglais désopilant et toujours personnel sont accompagnés ici de leur traduction française. Gilbert Pestureau Chroniques de Jazz dans CombatChroniques dans Jazz HotJazz in Paris
Boris Vian (1920-1959) passa comme un météore au milieu de notre siècle, laissant une trace éblouissante, énigmatique et inspiratrice. Dressé dans sa jeunesse insolente et éternelle, chantre des délires et des merveilles, alchimiste fécond du langage et des formes, messager audacieux de l'imaginaire, il nous offre des milliers de pages (roman, poésie, théâtre, critique, etc...) inspirées par la poésie des extrêmes et témoignant d'une volonté farouche de créer et de partager.Cette oeuvre énorme, méconnue ou mal jugée du vivant de l'auteur, mais consacrée désormais par la gloire populaire, la voici pour la première fois rassemblée en quinze volumes, en un ordre à la fois générique et chronologique, avec un texte plus fidèle à l'écriture originelle. Cette collection, hommage éclatant à un écrivain majeur, propose aux lecteurs d'entrer dans le XXIe siècle avec des rires et des larmes, la conscience d'une apocalypse intime démentie par l'opiniâtre joie de vivre. Jazz 3 Ce troisième volume, qui fait suite aux deux tomes précédents, complète enfin tous les écrits de Boris Vian consacrés au jazz. Il rassemble ses contributions à Jazz News, Spectacles, Radio 49, Radio 50, La Gazette du jazz, Arts, et Les Cahiers du disque. Il comprend en outre quelques textes peu connus, de même que des inédits de son vivant, disséminés ou devenus introuvables. Il satisfera les amateurs comme les aficionados de jazz mais aussi de Vian, qui prouve encore et toujours qu'on peut être sérieux et drôle à la fois, tout en informant intelligemment ses lecteurs.Ces trois volumes représentent une somme, et placent incontestablement Boris Vian comme l'un des plus grands critiques de jazz des années quarante et cinquante.Gilbert PestureauMarc Lapprand Jazz NewsSpectaclesRadio 49Radio 50La Gazette du JazzArtsLes Cahiers du disque
Boris Vian (1920-1959) passa comme un météore au milieu de notre siècle, laissant une trace éblouissante, énigmatique et inspiratrice. Dressé dans sa jeunesse insolente et éternelle, chantre des délires et des merveilles, alchimiste fécond du langage et des formes, messager audacieux de l'imaginaire, il nous offre des milliers de pages (roman, poésie, théâtre, critique, etc...) inspirées par la poésie des extrêmes et témoignant d'une volonté farouche de créer et de partager.Cette oeuvre énorme, méconnue ou mal jugée du vivant de l'auteur, mais consacrée désormais par la gloire populaire, la voici pour la première fois rassemblée en quinze volumes, en un ordre à la fois générique et chronologique, avec un texte plus fidèle à l'écriture originelle. Cette collection, hommage éclatant à un écrivain majeur, propose aux lecteurs d'entrer dans le XXIe siècle avec des rires et des larmes, la conscience d'une apocalypse intime démentie par l'opiniâtre joie de vivre. Théâtre Le théâtre de Boris Vian se lit entre les lignes, s'écoute entre les répliques, se voit entre les images. Le message pérenne est caché derrière la satire. Il est actualisable à toute époque.La pérennité du théâtre de Boris Vian tient à ce qu'il traite de sujets qui se répètent périodiquement dans le monde. L'inconséquence des sociétés est récurrente.Toutes les pièces de Vian dénoncent la fatuité ordinaire qui sévit à tous les échelons de la société. Derrière le rire, le triste compte-de-résultat de l'arrogance.Boris Vian emploie l'humour, la parodie, la satire qui accroissent le ridicule, un ridicule « mortifère » qui sape les pouvoirs humiliants des corrompus et des corrupteurs. Boris Vian, un regard ironique, dévastateur et prémonitoire jeté sur une époque dont les travers perdurent dans le temps.Jouer Boris Vian au théâtre sera toujours d'actualité. Boris Vian s'y révèle un ardent défenseur anti-guerre. En ce sens, la quadrilogie des pièces principales de Vian est exemplaire. Sur scène, c'est une leçon de civisme. Gilbert Pestureaud'Dée L'Équarrissage pour tousJ'irai cracher sur vos tombesLe Dernier des métiersUn Radical barbuLe Goûter des générauxTête de méduseSérie blêmeLe Chasseur françaisChambre de CélibataireLes Bâtisseurs d'empire
Boris Vian (1920-1959) passa comme un météore au milieu de notre siècle, laissant une trace éblouissante, énigmatique et inspiratrice. Dressé dans sa jeunesse insolente et éternelle, chantre des délires et des merveilles, alchimiste fécond du langage et des formes, messager audacieux de l'imaginaire, il nous offre des milliers de pages (roman, poésie, théâtre, critique, etc...) inspirées par la poésie des extrêmes et témoignant d'une volonté farouche de créer et de partager.Cette oeuvre énorme, méconnue ou mal jugée du vivant de l'auteur, mais consacrée désormais par la gloire populaire, la voici pour la première fois rassemblée en quinze volumes, en un ordre à la fois générique et chronologique, avec un texte plus fidèle à l'écriture originelle. Cette collection, hommage éclatant à un écrivain majeur, propose aux lecteurs d'entrer dans le XXIe siècle avec des rires et des larmes, la conscience d'une apocalypse intime démentie par l'opiniâtre joie de vivre. Opéras, spectacles Du Chevalier de Neige à Fiesta, en passant par Fluctuat nec mergitur et Cinémassacre, ce dixième volume illustre toutes les incursions de Boris Vian dans le monde du spectacle : opéras, ballets, comédies musicales, sketches et autres revues de scène. Sa collaboration avec les plus grands compositeurs du moment, ou avec les artistes de cabaret les plus actifs, assure à plusieurs de ces oeuvres un succès retentissant.La première partie propose des livrets d'opéra, y compris les livrets inachevés. La seconde contient vingt et un spectacles, dont douze publiés pour la première fois, précédés d'un avant-propos inédit d'Yves Robert, ami de Boris Vian. L'art de Vian trouve sa pleine mesure sur la scène. Il y mêle sans vergogne le vaudeville et la science-fiction, sans dédaigner la gouaille et l'érotisme. Sa maîtrise technique lui permet de concevoir un spectacle total, où fleurissent son originalité, sa drôlerie et son éternelle jeunesse.Gilbert PestureauMarc Lapprand OpérasSpectacles
Boris Vian (1920-1959) passa comme un météore au milieu de notre siècle, laissant une trace éblouissante, énigmatique et inspiratrice. Dressé dans sa jeunesse insolente et éternelle, chantre des délires et des merveilles, alchimiste fécond du langage et des formes, messager audacieux de l'imaginaire, il nous offre des milliers de pages (roman, poésie, théâtre, critique, etc...) inspirées par la poésie des extrêmes et témoignant d'une volonté farouche de créer et de partager.Cette oeuvre énorme, méconnue ou mal jugée du vivant de l'auteur, mais consacrée désormais par la gloire populaire, la voici pour la première fois rassemblée en quinze volumes, en un ordre à la fois générique et chronologique, avec un texte plus fidèle à l'écriture originelle. Cette collection, hommage éclatant à un écrivain majeur, propose aux lecteurs d'entrer dans le XXIe siècle avec des rires et des larmes, la conscience d'une apocalypse intime démentie par l'opiniâtre joie de vivre. VariétésCe volume comprend En avant la zizique, le traité de la chanson que Boris Vian publia en 1958, de même que l'ensemble des textes de pochettes de disques qu'il écrivit de 1956 à 1959, sur des musiques de films et divers artistes de music-hall.Dans ce panorama complet et concis de la chanson et des variétés des années cinquante en France, Boris Vian parle en tant que chanteur, compositeur, interprète et enfin directeur artistique chez Philips. On y retrouve un critique enthousiaste et visionnaire : sa façon d'envisager la chanson sous toutes ses formes est pleine de verve et d'humour, mais aussi d'information cadrée et de bon conseil aux débutants. Celui à qui l'on doit le mot « tube » laisse même présager, bien avant l'avènement de l'ordinateur, la fabrication automatique de chansons par des machines électroniques. Mais ce qui fait toute la valeur et la saveur de ces textes, c'est à la fois la solide connaissance de Vian dans le domaine, et sa totale indépendance de jugement. Gilbert PestureauMarc Lapprand En avant la ziziqueVariétésDerrière la zizique
Boris Vian (1920-1959) passa comme un météore au milieu de notre siècle, laissant une trace éblouissante, énigmatique et inspiratrice. Dressé dans sa jeunesse insolente et éternelle, chantre des délires et des merveilles, alchimiste fécond du langage et des formes, messager audacieux de l'imaginaire, il nous offre des milliers de pages (roman, poésie, théâtre, critique, etc...) inspirées par la poésie des extrêmes et témoignant d'une volonté farouche de créer et de partager.Cette oeuvre énorme, méconnue ou mal jugée du vivant de l'auteur, mais consacrée désormais par la gloire populaire, la voici pour la première fois rassemblée en quinze volumes, en un ordre à la fois générique et chronologique, avec un texte plus fidèle à l'écriture originelle. Cette collection, hommage éclatant à un écrivain majeur, propose aux lecteurs d'entrer dans le XXIe siècle avec des rires et des larmes, la conscience d'une apocalypse intime démentie par l'opiniâtre joie de vivre. Chroniques, critique, variétésVoici tous les écrits de Boris Vian qui scrute à la loupe son époque, en s'intéressant à tout, et soucieux de nous faire partager ses vues avec son habituelle alacrité. Plusieurs de ses domaines de prédilection ont déjà un pied dans le futur, comme la science-fiction, le jazz et la BD, et l'on mesurera ici non seulement l'étendue de ses connaissances, mais aussi l'étonnante lucidité qu'il portait sur des genres alors non canoniques. Côtoyant quelques grands de ce monde, il se fait tour à tour chroniqueur, essayiste, critique, conférencier, pataphysicien, et même pédagogue. Parfaitement à l'aise dans le texte court et incisif, Vian apparaît comme le pamphlétaire par excellence des années 40 et 50 ; généreux, drôles, perspicaces, mais aussi mordants, acerbes et parfois sans appel, ces écrits tracent le portrait d'un humaniste méconnu.Gilbert PestureauMarc Lapprand Manuel de Saint-Germain-des-PrésChroniques du menteurConférencesPataphysiqueCritiqueScience-fictionTraité du civisme
Boris Vian (1920-1959) passa comme un météore au milieu de notre siècle, laissant une trace éblouissante, énigmatique et inspiratrice. Dressé dans sa jeunesse insolente et éternelle, chantre des délires et des merveilles, alchimiste fécond du langage et des formes, messager audacieux de l'imaginaire, il nous offre des milliers de pages (roman, poésie, théâtre, critique, etc...) inspirées par la poésie des extrêmes et témoignant d'une volonté farouche de créer et de partager.
Cette oeuvre énorme, méconnue ou mal jugée du vivant de l'auteur, mais consacrée désormais par la gloire populaire, la voici pour la première fois rassemblée en quinze volumes, en un ordre à la fois générique et chronologique, avec un texte plus fidèle à l'écriture originelle. Cette collection, hommage éclatant à un écrivain majeur, propose aux lecteurs d'entrer dans le XXIe siècle avec des rires et des larmes, la conscience d'une apocalypse intime démentie par l'opiniâtre joie de vivre.
Jazz 1 Ce premier volume des chroniques de jazz de Boris Vian réunit les articles et les revues de presse qu'il écrivit pour Jazz Hot de 1946 à 1958, sa plus longue et plus fidèle contribution à une revue. Sous une forme tantôt légère et tantôt sérieuse, tantôt sarcastique et tantôt enthousiaste, c'est le brillant témoignage de sa passion pour le jazz, de sa science de cette musique et de sa confiance dans l'éducation et la culture musicales.
Gilbert Pestureau Chroniques de Jazz Hot
Boris Vian (1920-1959) passa comme un météore au milieu de notre siècle, laissant une trace éblouissante, énigmatique et inspiratrice. Dressé dans sa jeunesse insolente et éternelle, chantre des délires et des merveilles, alchimiste fécond du langage et des formes, messager audacieux de l'imaginaire, il nous offre des milliers de pages (roman, poésie, théâtre, critique, etc...) inspirées par la poésie des extrêmes et témoignant d'une volonté farouche de créer et de partager.
Cette oeuvre énorme, méconnue ou mal jugée du vivant de l'auteur, mais consacrée désormais par la gloire populaire, la voici pour la première fois rassemblée en quinze volumes, en un ordre à la fois générique et chronologique, avec un texte plus fidèle à l'écriture originelle. Cette collection, hommage éclatant à un écrivain majeur, propose aux lecteurs d'entrer dans le XXIe siècle avec des rires et des larmes, la conscience d'une apocalypse intime démentie par l'opiniâtre joie de vivre.
Radio VianCe volume regroupe pour la première fois tous les textes radiophoniques de Vian qui ont pu être retrouvés. Au micro, Vian parle certes de radio, mais aussi de jazz, de chanson et d'actualité. Ses propos révèlent sa curiosité et sa compétence, comme le dit si justement Claude Rameil. Et surtout, il s'exprime ici avec candeur et spontanéité sur ses romans, son théâtre, et autres oeuvres sur lesquelles il n'est généralement guère prodigue de parole. Pour terminer brillamment, une version entièrement remise à jour du fameux dictionnaire des personnages de Vian que Gilbert Pestureau avait publié voici presque vingt ans vient couronner - index raisonné et indispensable - cet ultime volume des Oeuvres du prolifique Bison Ravi.
Gilbert Pestureau Marc Lapprand Textes radiophoniques Dictionnaire des personnages
Boris Vian (1920-1959) passa comme un météore au milieu de notre siècle, laissant une trace éblouissante, énigmatique et inspiratrice. Dressé dans sa jeunesse insolente et éternelle, chantre des délires et des merveilles, alchimiste fécond du langage et des formes, messager audacieux de l'imaginaire, il nous offre des milliers de pages (roman, poésie, théatre, critique, etc.) inspirées par la poésie des extrêmes et témoignant d'une volonté farouche de créer et de partager.
Cette oeuvre énorme, méconnue ou mal jugée du vivant de l'auteur, mais consacrée désormais par la gloire populaire, la voici pour la première fois rassemblée en quatorze volumes, en un ordre à la fois générique et chronologique, avec un texte plus fidèle à l'écriture originelle. Cette collection, hommage éclatant à un écrivain majeur, propose aux lecteurs d'entrer dans le XXIe siècle avec des rires et des larmes, la conscience d'une apocalypse intime démentie par l'opiniâtre joie de vivre.
Oeuvres romanesques Pour ses premiers textes romanesques (1942-1946), Vian se lance allègrement dans la parodie. Son Conte de fées, déjanté moque le genre tout en bénéficiant de sa gratuité. Trouble dans les andains introduit le Major, dans des aventures de B.D. mêlant la gauloiserie à la chasse au trésor. Vercoquin et le plancton chante l'épopée des zazous, des ingénieurs de bureau et des surprises-parties. J'irai cracher sur vos tombes, fausse traduction d'un pseudo-Américain, canular littéraire mais puissant fantasme érotico-sanglant, est un vrai thriller sur le racisme aux U.S.A.
Gilbert Pestureau
Boris Vian (1920-1959) passa comme un météore au milieu de notre siècle, laissant une trace éblouissante, énigmatique et inspiratrice. Dressé dans sa jeunesse insolente et éternelle, chantre des délires et des merveilles, alchimiste fécond du langage et des formes, messager audacieux de l'imaginaire, il nous offre des milliers de pages (roman, poésie, théatre, critique, etc.) inspirées par la poésie des extrêmes et témoignant d'une volonté farouche de créer et de partager.
Cette oeuvre énorme, méconnue ou mal jugée du vivant de l'auteur, mais consacrée désormais par la gloire populaire, la voici pour la première fois rassemblée en quatorze volumes, en un ordre à la fois générique et chronologique, avec un texte plus fidèle à l'écriture originelle. Cette collection, hommage éclatant à un écrivain majeur, propose aux lecteurs d'entrer dans le XXIe siècle avec des rires et des larmes, la conscience d'une apocalypse intime démentie par l'opiniâtre joie de vivre.
Jazz I Ce premier volume des chroniques de jazz de Boris Vian réunit les articles et les revues de presse qu'il écrivit pour Jazz Hot de 1946 à 158, sa plus longue et plus fidèle contribution à une revue. Sous une forme tantôt légère et tantôt sérieuse, tantôt sarcastique et tantôt enthousiaste, c'est le brillant témoignage de sa passion pour le jazz, de sa science de cette musique et de sa confiance dans l'éducation et la culture musicales.
Gilbert Pestureau
Boris Vian (1920-1959) passa comme un météore au milieu de notre siècle, laissant une trace éblouissante, énigmatique et inspiratrice. Dressé dans sa jeunesse insolente et éternelle, chantre des délires et des merveilles, alchimiste fécond du langage et des formes, messager audacieux de l'imaginaire, il nous offre des milliers de pages (roman, poésie, théatre, critique, etc.) inspirées par la poésie des extrêmes et témoignant d'une volonté farouche de créer et de partager.
Cette oeuvre énorme, méconnue ou mal jugée du vivant de l'auteur, mais consacrée désormais par la gloire populaire, la voici pour la première fois rassemblée en quatorze volumes, en un ordre à la fois générique et chronologique, avec un texte plus fidèle à l'écriture originelle. Cette collection, hommage éclatant à un écrivain majeur, propose aux lecteurs d'entrer dans le XXIe siècle avec des rires et des larmes, la conscience d'une apocalypse intime démentie par l'opiniâtre joie de vivre.
Oeuvres romanesques 3 Entrepris aussitôt après L'Ecume des jours, L'Automne à Pékin contraste avec la simplicité lumineuse de celui-là ; ce roman, le plus complexe de Vian, sorte de fable initiatique ou de Nouveau Roman pataphysique, conte un voyage aventureux, farceur et tragique, où un lieu magique accueille l'énigme de multiples destins croisés. Parallèlement Vernon Sullivan poursuit sa création canularesque avec Et on tuera tous les affreux, mêlant cette fois la science-fiction au thriller érotique en un délire joyeux et prémonitoire. Avec ces deux chefs-d'oeuvre, voici le début d'un roman abandonné, Les Casseurs de Colombes, où un bus de banlieue prend le large vers l'infini...
Boris Vian (1920-1959) passa comme un météore au milieu de notre siècle, laissant une trace éblouissante, énigmatique et inspiratrice. Dressé dans sa jeunesse insolente et éternelle, chantre des délires et des merveilles, alchimiste fécond du langage et des formes, messager audacieux de l'imaginaire, il nous offre des milliers de pages (roman, poésie, théatre, critique, etc.) inspirées par la poésie des extrêmes et témoignant d'une volonté farouche de créer et de partager.
Cette oeuvre énorme, méconnue ou mal jugée du vivant de l'auteur, mais consacrée désormais par la gloire populaire, la voici pour la première fois rassemblée en quatorze volumes, en un ordre à la fois générique et chronologique, avec un texte plus fidèle à l'écriture originelle. Cette collection, hommage éclatant à un écrivain majeur, propose aux lecteurs d'entrer dans le XXIe siècle avec des rires et des larmes, la conscience d'une apocalypse intime démentie par l'opiniâtre joie de vivre.
Poèmes, nouvelles, chroniques romancées Ce volume enrichi d'inédits illustre les talents multiples de Vian écrivain, à travers toutes les années de sa création littéraire, de 1940 à 1959. Cinq recueils regroupent sa production poétique, si contrastée, du caustique au lyrique, du burlesque à l'angoisse poignante. Vingt-neuf nouvelles éparses du vivant de l'auteur font ensuite éclater sa réussite dans cette forme brève si bien adaptée à son écriture enlevée et tonique, avec le même mélange détonant de comique et d'horreur, de cruauté et d'émotion que dans Les Fourmis (tome II). Un ensemble de chroniques romancées complète ce volume, transposition fantaisiste de la vie quotidienne sous un regard tendre ou décapant.
Boris Vian (1920-1959) passa comme un météore au milieu de notre siècle, laissant une trace éblouissante, énigmatique et inspiratrice. Dressé dans sa jeunesse insolente et éternelle, chantre des délires et des merveilles, alchimiste fécond du langage et des formes, messager audacieux de l'imaginaire, il nous offre des milliers de pages (roman, poésie, théâtre, critique, etc.) inspirées par la poésie des extrêmes et témoignant d'une volonté farouche de créer et de partager.
Cette oeuvre énorme, méconnue ou mal jugée du vivant de l'auteur, mais consacrée désormais par la gloire populaire, la voici pour la première rois rassemblée en quatorze volumes, en un ordre à la fois générique et chronologique, avec un texte plus fidèle à l'écriture originelle. Cette collection, hommage éclatant à un écrivain majeur, propose aux lecteurs d'entrer dans le XXIe siècle avec des rires et des larmes, la conscience d'une apocalypse intime démentie par l'opiniâtre Joie de vivre.
Oeuvres romanesques 4 Les brillants adieux de Vian au roman... Contre les éditeurs hostiles et les censeurs stupides, il persévère à créer des fables hors du commun, croisant la science-fiction et l'auto-analyse dans l'Herbe rouge, épopée intime, ironique et désespérée ; ou le fantastique ethnologique, la névrose maternelle et la quête d'une vraie vie dans l'Arrache-coeur : la cruelle dérive d'êtres vides ou trop pleins d'amour contraste avec la puissance magique de l'enfance. Sullivan cependant signe une ultime farce burlesque, excessive et saignante :
Elles se rendent pas compte.
Un fragment inédit de trois chapitres complète ce volume illustrant l'imagination irrépressible et l'univers étrange d'un romancier méconnu de son vivant, mais heureusement redécouvert et célébré depuis quarante ans.Gilbert Pestureau
Boris Vian (1920-1959) passa comme un météore au milieu de notre siècle, laissant une trace éblouissante, énigmatique et inspiratrice. Dressé dans sa jeunesse insolente et éternelle, chantre des délires et des merveilles, alchimiste fécond du langage et des formes, messager audacieux de l'imaginaire, il nous offre des milliers de pages (roman, poésie, théâtre, critique, etc.) inspirées par la poésie des extrêmes et témoignant d'une volonté farouche de créer et de partager.
Cette oeuvre énorme, méconnue ou mal jugée du vivant de l'auteur, mais consacrée désormais par la gloire populaire, la voici pour la première fois rassemblée en quatorze volumes, en un ordre à la fois générique et chronologique, avec un texte plus fidèle à l'écriture originelle. Cette collection, hommage éclatant à un écrivain majeur, propose aux lecteurs d'entrer dans le XXIe siècle avec des rires et des larmes, la conscience d'une apocalypse intime démentie par l'opiniâtre joie de vivre.
Jazz 2 Avec ce deuxième ensemble de chroniques de jazz, Boris Vian poursuit sa tâche d'information et d'éducation pour le monde francophone, les lecteurs de Combat (articles variés) pour qui il éclaire par exemple le débat sur le be-bop, ec les amateurs de disques de Jazz Hot. Mais il le tait aussi, humoristiquement et sérieusement à la fois, pour les auditeurs d'outre-Atlantique qui partagent sa passion. Dans ses enregistrements a destination de l'Amérique (1947-1948), il illustre l'histoire du Jazz en France des années trente aux années quarante : ces textes d'un anglais désopilant et toujours personnel sont accompagnés ici de leur traduction française. Gilbert Pestureau
Boris Vian (1920-1959) passa comme un météore au milieu de notre siècle, laissant une trace éblouissante, énigmatique et inspiratrice.
Dressé dans sa jeunesse insolente et éternelle, chantre des délires et des merveilles, alchimiste fécond du langage et des formes, messager audacieux de l'imaginaire, il nous offre des milliers de pages (roman, poésie, théâtre, critique, etc.) inspirées par la poésie des extrêmes et témoignant d'une volonté farouche de créer et de partager.
Cette oeuvre énorme, méconnue ou mal jugée du vivant de l'auteur, mais consacrée désormais par la gloire populaire, la voici pour la première fois rassemblée en quatorze volumes, en un ordre à la fois générique et chronologique, avec un texte plus fidèle à l'écriture originelle.
Cette collection, hommage éclatant à un écrivain majeur, propose aux lecteurs d'entrer dans le XXIe siècle avec des rires et des larmes, la conscience d'une apocalypse intime démentie par l'opiniâtre joie de vivre.
Ce troisième volume, qui fait suite aux deux tomes précédents, complète enfin tous les écrits de Boris Vian consacrés au jazz. Il rassemble ses contributions à Jazz News, Spectacles, Radio 49, Radio 50, La Gazette du jazz, Arts, et Les Cahiers du disque.
Il comprend en outre quelques textes peu connus, de même que des inédits de son vivant, disséminés ou devenus introuvables. Il satisfera les amateurs comme les aficionados de jazz mais aussi de Vian, qui prouve encore et toujours qu'on peut être sérieux et drôle à la fois, tout en informant intelligemment ses lecteurs.
Ces trois volumes représentent une somme, et placent incontestablement Boris Vian comme l'un des plus grands critiques de jazz des années quarante et cinquante.
Gilbert Pestureau Marc Lapprand
Ce volume comprend En avant la zizique, le traité de la chanson que Boris Vian publia en 1958, de même que l'ensemble des textes de pochettes de disques qu'il écrivit de 1956 à 1959, sur des musiques de films et divers artistes de music-hall.
Dans ce panorama complet et concis de la chanson et des variétés des années cinquante en France, Boris Vian parle en tant que chanteur, compositeur, interprète et enfin directeur artistique chez Philips. On y retrouve un critique enthousiaste et visionnaire : sa façon d'envisager la chanson sous toutes ses formes est pleine de verve et d'humour, mais aussi d'information cadrée et de bon conseil aux débutants. Celui à qui l'on doit le mot « tube » laisse même présager, bien avant l'avènement de l'ordinateur, la fabri-cation automatique de chansons par des machines électroniques. Mais ce qui fait toute la valeur et la saveur de ces textes, c'est à la fois la solide connaissance de Vian dans le domaine, et sa totale indépendance de jugement.
Gilbert Pestureau Marc Lapprand