La collection « Recherches » apporte à un large public d'amateurs, d'étudiants et de chercheurs des sources inédites pour repenser le canon de l'histoire de l'art moderne et contemporain et produire de nouveaux récits.
Elle vise à :
. ouvrir l'histoire de l'art à de nouvelles géographies et réévaluer les circulations culturelles ;
. reconsidérer l'histoire de l'art à l'aune de nouvelles perspectives techniques ou épistémologiques ;
. relire l'histoire de l'art au filtre de grands questionnements contemporains transversaux.
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Présente des oeuvres de X. Veilhan qui peuvent prendre de multiples formes : sculptures, installations, peintures, photographies, mais qui se placent toujours dans une position ambivalente par rapport à la réalité. Les sujets choisis, des animaux ou des objets issus du quotidien, du design ou de l'industrie, ne sont pas a priori extraordinaires, mais sont traités de façon énigmatique.
Cette monographie explore les problématiques visibles dans l'oeuvre de P. Parreno, liées à la mémoire, à la présence et à la narration.
Présente à travers des archives et des photographies d'oeuvres achevées ou détruites du sculpteur suisse, son rapport à la création et à l'atelier et son travail sur un élément récurrent dans son oeuvre, la chaise. Publié à l'occasion d'une exposition inaugurant un nouvel espace dédié à l'art contemporain au Centre Georges Pompidou.
Présente des dessins et des projets pour des installations, réalisées ou non, de l'artiste coréenne. Publié à l'occasion de l'exposition inaugurale du nouvel espace dédié à l'art contemporain au Centre Georges Pompidou.
Présente le travail du plasticien allemand M. von Plessen, travail prenant appui sur une photographie, caractérisé par des zones de peinture à large empâtement, et cherchant à explorer les possibilités qu'offre la peinture.
Présente quelques oeuvres de Carole Benzaken qui s'est fait connaître dans les années 1990 avec des peintures représentant des tulipes. Puisant ses sujets dans l'univers quotidien à partir de photographies de magazines, d'images de télévision ou de ses propres photographies et films, elle révèle l'emprise de l'image grâce à un travail pictural utilisant le médium acrylique.
Depuis le début des années 1990, Gabriel Orozco poursuit une carrière faite de surprises et d'innovations constantes.
Evoluant avec aisance et liberté entre le dessin, la photographie, la sculpture, l'installation et la peinture, il a constitué un corpus d'objets hétérogène qui résiste à toute classification. Dans ses oeuvres, qu'il s'agisse d'interventions subtiles dans l'environnement, de sculptures exécutées avec un soin minutieux ou de photographies prises sur le vif, l'art est toujours en prise avec la réalité et l'idée inséparable de l'expérience.
Cette publication, conçue en collaboration avec Gabriel Orozco lui-même, présente un panorama complet du parcours de l'artiste depuis la fin des années 1980. Les essais critiques de Christine Macel, Ann Temkin, Briony Fer et Benjamin H D Buchloh proposent des approches nouvelles qui permettent de mieux situer le travail de Gabriel Orozco clans le contexte plus large de l'art contemporain. Ils sont complétés par une chronologie richement illustrée qui associe des éléments biographiques et des analyses détaillées de certaines oeuvres, en accordant une attention particulière aux pratiques matérielles de l'artiste et à ses propres réflexions sur son oeuvre.
Né en 1967 à Mexico et vivant à Berlin, Damián Ortega a commencé sa carrière en tant que créateur de bandes dessinées politiques. Premier artiste d'Amérique latine à exposer dans l'Espace 315, il fait partie, avec Abraham Cruz-Villegas et Gabriel Kuri, des artistes les plus remarqués de la nouvelle génération mexicaine. Il a été révélé par l'oeuvre Cosmic Thing, à la 50e Biennale de Venise en 2003, où une coccinelle Volkswagen était démantelée et suspendue au plafond, déconstruction ironique d'un objet culte de la société de consommation mexicaine.
Pour l'Espace 315, Damián Ortega crée une installation qui fonctionne comme une camera oscura. Fidèle à son principe de fragmentation et de dispersion des formes dans l'espace, il invite le visiteur à pénétrer dans un espace où quelque 6000 modules colorés sont suspendus au plafond avant de découvrir, derrière une cimaise au fond de la salle, l'installation à travers une lentille...
L'exposition « Elles font l'abstraction » ambitionne d'écrire l'histoire des apports des artistes femmes à l'abstraction au XXème siècle, avec quelques incursions inédites dans le XIXème siècle.
La plupart des expositions dévolues à l'histoire de l'art abstrait ont souvent minoré le rôle fondamental joué par les femmes dans le développement de cette tendance. Les dernières recherches qu'illustrent les nombreuses monographies et expositions thématiques récentes, permettent de réévaluer aujourd'hui l'importance de leur contribution, tout en questionnant les vieux schémas historiques.
En se concentrant sur les parcours de ces artistes parfois injustement éclipsées, l'exposition propose d'écrire une autre histoire de l'art, élargie à la danse, aux arts appliqués, à la photographie, au cinéma et aux arts performatifs. Loin d'une simple compilation, l'exposition met en évidence les tournants décisifs qui ont marqué cette évolution, en évoquant aussi bien les recherches entreprises par les artistes, individuellement ou en groupe, que les expositions fondatrices.
Vingt après la chute du mur de Berlin, " Les Promesses du passé " interroge l'ancienne opposition européenne Est/Ouest en revisitant l'histoire de l'art des pays du bloc communiste.
Transnationale et transgénérationnelle, cette exposition propose les oeuvres de cinquante artistes issus, pour beaucoup d'entre eux, d'Europe centrale et orientale, mais aussi de bien au-delà de ses frontières.
Des historiens d'art, des conservateurs, des artistes et des chorégraphes explorent le dialogue entre art et danse de 1900 à nos jours, d'Henri Matisse à Tino Sehgal, de Vaslav Nijinski à Matthew Barney, de Loïe Fuller à Merce Cunningham.
Illustré par de nombreuses oeuvres et documents exceptionnels, "Danser sa vie" est un parcours inédit et ambitieux au croisement de toutes les disciplines.
Des historiens d'art, des conservateurs, des artistes et des chorégraphes explorent le dialogue entre art et danse de 1900 à nos jours, d'Henri Matisse à Tino Sehgal, de Vaslav Nijinski à Matthew Barney, de Loïe Fuller à Merce Cunningham.
Illustré par de nombreuses oeuvres et documents exceptionnels, "Danser sa vie" est un parcours inédit et ambitieux au croisement de toutes les disciplines.
De Friedrich Nietzsche à Stéphane Mallarmé, de François Delsarte à Emile Jaques-Dalcroze, de Nijinski à Merce Cunningham, cette anthologie, sous la direction de Christine Macel et Emma Lavigne, rassemble des textes historiques et contemporains, qui permettent de comprendre combien la danse est un fait social total, intéressant tout à la fois les champs de l'anthropologie, de la philosophie, de l'histoire de l'art mais aussi de la poésie.