Filtrer
Éditeurs
- Bd Music (18)
- ODILE JACOB (17)
- Plon (16)
- Pocket (13)
- Actes Sud (9)
- Gallimard (7)
- Albin Michel (5)
- Flammarion (3)
- Larousse (3)
- Belfond (2)
- Bouquins (2)
- Femis (2)
- Le Cherche Midi (2)
- Les Belles Lettres (2)
- Pu De Franche Comte (2)
- ARCHIPEL (1)
- Actes Sud-Papiers (1)
- Alexandre Stanké (1)
- André Versaille (1)
- Bulles De Savon (1)
- Cahiers Dessines (1)
- De Vive Voix (1)
- Delory (1)
- Democratic Books (1)
- Ecriture (1)
- Editions 1 (1)
- Editions de l'Aube (1)
- Fayard (1)
- Futuropolis (1)
- Grasset (1)
- Harvill Secker (1)
- Hozhoni (1)
- Infolio (1)
- JC Lattès (1)
- LE LIVRE DE POCHE (1)
- LES EDITIONS RETROUVEES (1)
- Le Seuil (1)
- Les Editions Retrouvees (1)
- Maison Des Sciences De L'Homme (1)
- Nicolas Chaudun (1)
- Points (1)
- Stanke Alexandre (1)
- Tertium (1)
Prix
Jean Claude Carrière
-
Les philo-fables pour la Terre
Jean-Claude Carrière, Michel Piquemal
- Stanke Alexandre
- 1 Janvier 2012
- 9782895584179
Dans la continuité des Philos-fables, les Philo-Fables pour la Terre proposent à l'auditeur de s'interroger sur ses relations avec la nature.
A travers des mythes, des fables anciennes et modernes, des contes de toutes origines, sont abordées les notions de responsabilité, de modération, d'équilibre... Un court commentaire philosophique s'ajoute à chaque fable : il invite l'auditeur à poursuivre la réflexion et à mettre en question ses préjugés et ses habitudes.
-
L'envol ; la conférence des oiseaux
Reza, Jean-Claude Carrière
- Democratic Books
- 4 Novembre 2011
- 9782361040581
En regardant les photographies de Reza, Jean-Claude Carrière a cru reconnaître un voyage ancien, raconté au XIIe siècle par un poète persan, Farid Al-Din Attar.
Le poème s'appelle La Conférence des oiseaux. Toutes les étapes de ce voyage, les splendeurs comme les misères, les accidents, les étonnements, les extases, les abandons, les désespoirs, tout était là, dans le travail du photographe. Ces images n'attendaient qu'un regard et une parole. Les deux hommes ont alors reconstitué, pièce par pièce, cette envolée initiatique. Ils sont partis, ils ont traversé les sept vallées, ils sont arrivés au vrai roi.
Avec une surprise : l'itinéraire n'a pas changé, les obstacles restent en place, et la même surprise nous attend à la fin. Les siècles se déroulent, les ruines succèdent aux ruines, nous n'avons pas changé.
-
« Je suis parti du cliché, comme tout le monde, du fandango, des mantilles et des castagnettes. Après quoi, peu à peu, en travaillant là-bas (avec Buñuel, avec Bergamín), j'ai trouvé une Espagne plus profonde, plus étrange à nos yeux, plus lointaine aussi que celle que j'imaginais. Une Espagne où la « raison » n'a pas le même sens que chez nous, où les révolutions sont plus radicales, les rêves plus larges. Une Espagne d'où la pensée a été officiellement bannie comme une « manie funeste », où la folie parade encore, où les démons viennent s'asseoir au coin du feu.
Voici cette Espagne peu souvent décrite, parfois mal aimée. Les Pyrénées, bien visibles, nous en séparent. Mille liens, invisibles, nous en rapprochent. » J.-C. C.
-
En sautant d'une pierre à l'autre, Jean-Claude Carrière essaie de traverser le fleuve que fut sa vie.
Ces pierres sont des endroits, des hommes et des femmes, acteurs, écrivains, metteurs en scène (Borges, Buñuel, Peter Brook, Nureïev) qui ont marqué une vie fertile, toute de mouvement, ponctuée de rires et dirigée par une curiosité sans limite.
C'est un inventaire, un puzzle sans motif central, sinon peut-être la recherche incessante d'une alliance entre travail, plaisir et qualité.
-
-
Le cinéma italien ; une histoire d'amour
Jean-Claude Carrière
- De Vive Voix
- 15 Octobre 2009
- 9782846840897
Jean-Claude Carrière évoque ici son amour du cinéma italien, les films et les metteurs en scène qu'il a connus et qui l'ont marqués : Rossellini, Fellini, Antonioni et bien d'autres. Il évoque cette mystérieuse combinaison d'élégance, de tendresse, d'humour et de gravité qui, de l'après guerre à son apogée dans les années 1960, et au delà, est la marque de fabrique d'un très grand cinéma qui n'a pas vieilli.
-
N'espérez pas vous débarrasser des livres
Jean-Claude Carrière, Umberto Eco
- LE LIVRE DE POCHE
- Biblio Essais
- 15 Septembre 2010
- 9782253156178
A la veille de l'arrivée sur tous les marchés du monde des nouvelles générations de livres électroniques, deux écrivains bibliophiles s'interrogent sur l'avenir du livre. Une discussion à la fois savante et humoristique qui nous fait traverser 5000 ans d'histoire du livre, du papyrus au fichier électronique.
-
Toucher le fond de Calcutta, ce serait approcher la complexité du monde. Depuis trois siècles, Calcutta est une matérialisation de l'histoire de l'Europe et de l'Asie : colonies, avènement du capitalisme, guerres mondiales, décolonisation, communisme, mouvements de populations, balbutiements de l'humanitaire, religion, arts, science, tout est passé par là, tout a imprimé une trace dans la ville et l'âme de ses habitants.
C'est ce que veut saisir l'objectif de Sylvain Savolainen. Évitant les lieux communs de l'exotisme ou du misérabilisme, multipliant les angles de vue, les situations et les thèmes, il se laisse happer par le bouillonnement du lieu. De cette traversée, le lecteur sort grisé, déboussolé, comme ployant sous le poids de la ville. Mais il ne saurait être question de l'abandonner devant une masse d'images s'enchaînant en vrac, en le laissant y chercher un fil hypothétique. Un guide l'accompagne tout au long du parcours.
Ce guide, c'est Jean-Claude Carrière. Son commentaire prend la forme de légendes approfondies, de brefs articles ou chapitres qui prolongent les images et leur ajoutent le contrepoint de réflexions, de repères historiques et culturels, d'anecdotes personnelles. On aboutit à un livre surprenant, multiple, appelant une lecture non-linéaire. Comme dans un puzzle, chaque bribe restitue une partie de la présence, de la respiration même de Calcutta.
AUTEURS :
Né le 5 février 1972 en Suisse, Sylvain Savolainen a commencé son activité de photographe et de reporter après une coopération humanitaire à Calcutta. Représenté aujourd'hui par les agences Cosmos, à Paris, et Grazia Neri, à Milan, son travail est régulièrement publié par les grands journaux et magazines de la presse internationale. En 2007, un reportage qu'il réalise en Sierra Leone remporte le Swiss Press Photo du meilleur reportage de l'année à l'étranger.
Parallèlement, il effectue des documentaires et des reportages pour la Radio Suisse Romande, France Inter et France Culture.
Né en 1931 dans une famille de viticulteurs languedociens, Jean-Claude Carrière publie à 26 ans son premier roman, Lézard. À la même époque, il rencontre Pierre Etaix et Jacques Tati avec qui il co- signe des courts et des longs métrages.
Son talent s'exprime à travers tous les genres littéraires, du roman à l'essai en passant par l'écriture de scénarios - pour Luis Buñuel, Louis Malle, Jean-Luc Godard, Milos Forman, Jean-Paul Rappeneau ou Volker Schlöndorff.
Parallèlement, il poursuit une carrière de dramaturge et adaptateur, aux côtés entre autres de Jean- Louis Barrault et Peter Brook. Celui que Buñuel appelait " le petit paysan qui s'émerveille de tout " est aussi un grand voyageur qui a parcouru l'Inde pendant vingt ans. Il a rapporté de ce long voyage un Dictionnaire amoureux de l'Inde et un livre d'entretiens avec le Dalaï-Lama, La force du bouddhisme.
-
Le nouveau dictionnaire de la bêtise ; le livre des bizarres
Jean-Claude Carrière, Guy Buchtel
- Bouquins
- 17 Avril 2014
- 9782221144695
Pourquoi cette édition du Dictionnaire de la Bêtise et du Livre des Bizarres ? Parce que la bêtise ne s'arrête jamais et que des idiots se révèlent chaque jour, comme les génies, mais tout de même pas dans les mêmes proportions. Parce qu'il faut aussi un certain temps pour les détecter, les regarder agir, les classer. Dans les précédentes éditions, il n'y avait aucun article concernant Sartre, Beauvoir, Aragon, Claudel, Truffaut ; rien sur les étrangetés ou absurdités réjouissantes tenues à leur propos ou qu'ils ont eux-mêmes proférées. Pas de jugement, non plus, sur F. Mitterrand, que ce soit de la part de ses encenseurs excessifs ou de ses détracteurs les plus farouches.
Le Dictionnaire de la bêtise ainsi complété est un véritable sottisier, mais son ambition est bien plus grande. On y trouvera des textes tout simplement amusants, comme Georges Marchais assurant en 1986 que " nous n'avons jamais changé, nous ne changerons jamais : nous sommes pour le changement " ; mais aussi et surtout des affirmations, parfois odieuses, exprimant haine du modernisme, racisme, antisémitisme, xénophobie. Ces textes souvent signés de grands noms et parfaitement référencés, traduisent tous, non pas des erreurs de plume, mais des affirmations conscientes et volontaires. Cette bêtise-là, véritable dimension éternelle de l'esprit humain, a ce mérite de révéler, peut-être mieux que les textes dits " intelligents ", ce que furent les mentalités d'une époque.
Ainsi, quand Mgr de Quélen, archevêque de Paris sous la Restauration, laisse entendre que " non seulement Jésus-Christ était fils de Dieu mais qu'il était aussi d'excellente famille du côté de sa mère ", il ne disait pas qu'une sottise : il manifestait les conceptions traditionnalistes de son temps. Quand le grand savant M. Berthelot disait en 1887 que " l'univers est désormais sans mystère ", il avouait toute l'arrogance de l'esprit scientiste. Un bêtisier amusant donc, très amusant même, mais quelquefois bête à pleurer.
Corollaire du Dictionnaire de la Bêtise, le Livre des Bizarres rappelle que, parmi de sympathiques penseurs farfelus, nombre de grands esprits ont d'abord souvent passé pour des dérangés notoires (Socrate et son démon ; Rousseau vêtu en Arménien ; le physicien Ampère, sorte de savant Cosinus ; Einstein lui-même, qui essayait parfois de vivre sans chaussettes).
Là aussi, il fallait nourrir, mettre à jour, et non plus se contenter de citer les manies d'un Roosevelt ou d'un Ceausescu ; il fallait ajouter celles des maîtres du monde plus modernes : le président Carter (qui remplaçait nuitamment dans les couloirs de la Maison blanche les portraits de ses prédécesseurs par le sien), le dictateur du Turkménistan nommé Niazov (mort en 2006) qui interdisait à son peuple d'être malade et qui avait supprimé la tuberculose par décret... Sans parler des chefs de l'Iran actuel, obligeant les championnes de ping-pong à porter le tchador en compétition internationale, et de beaucoup de bizarreries fondamentalistes dans nos propres religions occidentales.
-
Le cercle des menteurs Tome 2 ; contes philosophiques du monde entier
Jean-Claude Carrière
- Pocket Documents Et Essais
- 16 Septembre 2010
- 9782266191326
Dans toutes les régions du monde, dans toutes les cultures, et depuis toujours, les hommes se racontent des histoires.
Paraboles, draines ou plaisanteries, elles mettent en scène des héros de légende et des individus ordinaires, des pouvoirs surnaturels et des faiblesses bien humaines. Chaque histoire est un miroir, un divertissement et un enseignement. Et parmi elles, certaines ont traversé le temps et l'espace pour parvenir jusqu'à nous et nous parler encore. Des tribulations de Nasreddin Hodja au " village sans fin " de Roumanie, quelle est la part de vérité et d'invention ? Nul ne peut le dire.
Car c'est lorsque le vrai et le faux sont indémêlables que le conteur touche à l'universel.
-
Le cercle des menteurs Tome 1 ; contes philosophiques du monde entier
Jean-Claude Carrière
- Plon
- 12 Mars 1998
- 9782259187114
Jean-Claude Carrière a écrit et ordonné ces histoires comme s'il s'agissait d'un nouveau manuel de philosophie. C'est la philosophie par les contes, un manuel où le chemin vers la sagesse serait hasardeux et plaisant, uniquement constitué des meilleures histoires du monde. Au début, les hommes se racontaient les mythes, qui étaient vrais, car ils avaient pour auteur le cosmos. Puis les conteurs sont arrivés et ont inventé les histoires. Ils furent les premiers menteurs, suivis de beaucoup d'autres. Ces contes se rapportent à toutes les questions qui, un jour ou l'autre, nous ont agités. Et ils disent des vérités que seuls les menteurs connaissent.
-
La conférence des oiseaux
Jean-Claude Carrière
- Albin Michel
- Espaces Libres ; Ecritures
- 3 Février 2016
- 9782226320360
La Conférence des oiseaux est un des plus célèbres contes soufi, qui a beaucoup influencé le grand Rûmî, et dont le Persan Farid al-Din Attar (1142-1220) fit l'un des plus beaux récits poétiques de tous les temps. Il raconte comment les oiseaux se mirent en quête du mythique Simorgh, afin de le prendre comme roi. Au terme d'une épopée mystique et existentielle, ils découvrent que le Simorgh n'est autre qu'eux-mêmes : Le soleil de ma majesté est un miroir. Celui qui se voit dans ce miroir, y voit son âme et son corps.De cette allégorie de la rencontre entre l'âme et son vrai roi, Jean-Claude Carrière a extrait une oeuvre théâtrale, mise en scène par Peter Brook en Avignon en 1979. Longtemps épuisé, ce classique contemporain par lequel un trésor du patrimoine spirituel mondial retrouve son oralité première, est enfin rendu à son public.
-
Une vieille dame meurt, dans une propriété du Sud-Ouest. Elle y vivait seule avec son fils Milou et une jeune servante. Toute la famille accourt, comme toujours dans ce cas. À une différence près, c'est que nous sommes en mai 1968 et que les événements de Paris, grossis, déformés par la distance, vont entraîner les uns et les autres à des réactions imprévues. D'abord, c'est comme si le désordre autorisait chacun à se livrer à ses instincts, à son égoïsme. Et soudain, cela tourne à la fête et, pour un peu, le vieux domaine deviendrait un phalanstère. Puis la peur s'installe : le pouvoir gaulliste s'effondre, la guerre civile est proche. Pris de panique, les voici qui s'enfuient, vont se cacher dans la montagne. Quand tout rentre dans l'ordre, on pourra enfin enterrer la vieille dame et abandonner Milou à sa solitude. Un monde bourgeois bien fatigué et qu'une secousse fait trembler sur ses bases, abolissant conventions et convenances, voilà ce que peint Louis Malle. Devant la cruauté légère de ces personnages, on peut penser à Goldoni, à Marivaux. Le décor du Sud-Ouest, que le cinéaste connaît si bien, sert merveilleusement cette comédie douce-amère.
-
Savez-vous que mettre la main dans sa poche pour y toucher une grosse liasse de billets fait baisser la tension artérielle ? Qu´une méthode de régime très sérieuse consiste à se bloquer les mâchoires à l´aide de fils métalliques ? Que 52,71 % des statistiques sont fausses ?
Ce sont quelques-unes des informations que renferme cet ouvrage, dans lequel Jean-Claude Carrière laisse libre cours à sa fantaisie, sa science, sa culture, et nous fait profiter du regard ironique qu´il porte sur le monde et ses détails.
Que ce soit sous forme de pensées, de dialogues, de conseils, d´anecdotes, d´extraits de journal intime, Jean-Claude Carrière excelle à faire surgir l´absurde, à débusquer le paradoxe, à relever l´incongruité.
On apprendra ainsi, pêle-mêle, pourquoi, dans l´Athènes antique il fallait frapper à la porte avant de sortir de chez soi, pourquoi les habitants d´Uqbar, en Irak, ont banni la copulation et les miroirs au XVIIIe siècle, on saura tout de l´influence de la Lune sur le visage des femmes, ou sur les négociations entre vidéastes amateurs et chaînes de télévision à New York au soir du 11 septembre 2001.
Autant de détails qui en disent peut-être plus long sur l´état de notre monde que n´importe laquelle des théories.
-
«Le cheminement de Sujata Bajaj, que je suis fidèlement depuis vingt ans, est exemplaire. Sa vision s'est maintenue en se déployant. Et sa technique a suivi. Avec toujours ce mélange de fougue et de contrôle qui fait que nous recevons de son travail quelque chose qui ressemble au bien-être de l'énergie transmise. Avec aussi cette couleur qui jaillit comme par surprise, cette couleur qui est son exigence, sa nature profonde. Devant certaines de ses oeuvres, je me dis que Sujata a inventé le rouge. Ou les rouges, je ne sais plus. Avec un souci précis, non pas de faire du nouveau, mais de faire du vivant.» Jean-Claude Carrière.
-
André Malraux a dit : "Je croirai à la crise du cinéma quand je verrai les producteurs prendre le métro." Ce à quoi "le producteur" trouva à répondre : "M.
Malraux n'avait oublié qu'une chose, c'est que, pour prendre le métro, il faut payer comptant." La sentence aurait dû servir de leçon à Jean- Michel. Il n'en fut rien. Et le voici qui court après son chèque.
Car "le producteur" ne manque pas d'imagination et, après le chèque en bois, voici : le chèque à venir, le chèque volant, le chèque chimérique, le fabuleux chèque...
-
Simon le Mage, juif et magicien, court les routes de Judée suivi de sa troupe de fidèles. Un jour, dans un village appelé Cana, il apprend qu'un inconnu de Nazareth fait des prodiges...
Il est juif et il est magicien. Il court les routes de Judée, sous la domination romaine, en se proclamant la " Puissance de Dieu " et en annonçant la fin du monde. Il est entouré par un cortège hétéroclite et flanqué de la mystérieuse Hélène, qu'il a arrachée à un bordel de Tyr et qu'il s'appelle la Mère du Monde.
Sa vie fastueuse est troublée, puis bouleversée, par l'apparition d'un autre homme - un nommé Jeshubar, de Nazareth - qui change l'eau en vin, guérit les lépreux et ressuscite même un mort (à ce qu'on dit).
Qui est cet homme ? Pourquoi les foules vont-elles vers lui ? Est-ce que le ciel l'aurait désigné ?
Mille questions secouent le mage, qui perd sa superbe et ses disciples. Il tente vainement de rencontrer l'autre, de se mesurer avec lui. Son esprit s'égare.
Dans ce roman où, à travers une supposition historique très vraisemblable, tout ce qui est dit reste possible, nous suivons pas à pas les derniers mois de la vie d'un vie d'un homme qui, jusqu'au bout, refuse que ses yeux s'ouvrent tout à fait et repousse la vraie lumière. Un homme qui, hanté par le surnaturel, meurt sans pouvoir accepter de n'être qu'un homme. -
Une nuit, martin guerre disparaît. presque dix ans lus tard, le voici de ';retour';. bientôt se propage une rumeur selon laquelle il serait un imposteur. procès, disputes, tentatives d'assassinat : c'est l'affrontement général entre ses partisans et ses adversaires.
-
Entretiens sur la fin des temps
Jean-Claude Carrière, Jean Delumeau, Umberto Eco, Stephen Jay Gould
- Fayard
- 4 Novembre 1998
- 9782213602660
Que penser de la coïncidence entre la montée des périls planétaires et l'approche de l'an 2000 ? Comment l'Occident chrétien a-t-il fait face par le passé à l'annonce répétée de la fin du monde ? De quelle façon les différentes religions envisagent-elles ce terme ? Que disent la science et la philosophie sur le temps, la fin du temps, la fin des temps ?
Quatre grands témoins de nos tourments contemporains se penchent sur les différentes significations, religieuses et profanes, de l'idée de fin des temps, et réfléchissent ensemble, avec science, humour et lucidité, aux défis que nous lance déjà le prochain millénaire.
Avec, par ordre d'entrée en scène, le paléontologue américain Stephen Jay Gould, l'historien des peurs en Occident Jean Delumeau, l'homme de théâtre et d'écriture Jean-Claude Carrière, enfin le sémiologue et romancier Umberto Eco. Interrogés par Catherine David, Frédéric Lenoir, Jean Philippe de Tonnac, journalistes et écrivains. -
-
Raconter une histoire : l'art est ancien. Les scénaristes d'aujourd'hui sont les héritiers d'une vieille famille, dont on lira ici quelques pages d'album. Les peuples ont le besoin de se raconter leurs histoires, aujourd'hui comme hier. Savons-nous encore répondre à ce besoin ?
-
Petite étoile
Elisabeth Vangioni-flam, Michel Cassé, Jean-Claude Carrière
- ODILE JACOB
- Sciences
- 28 Septembre 1999
- 9782738107268
L'histoire de la galaxie racontée par une étoile.
-
-