Certains croyaient qu'après la guerre viendrait la paix. Ils avaient tort... Même les morts n'allaient plus connaître le repos.
Le feu nucléaire et chimique s était abattu sur la Terre. Ceux qui survécurent aux radiations et maladies se réfugièrent à l'intérieur de forteresses protégées par des soldats éduqués pour servir, dressés pour tuer. Les survivants du Peuple Sain, tel qu'ils s'étaient autoproclamés, vivaient dans ces nouvelles mégalopoles avec deux préoccupations principales : la sécurité et le plaisir. À l'extérieur de ces nouvelles cités protégées régnait le plus effroyable chaos. Irradiés ou contaminés, cramés jusqu'à l'os, rongés par des virus mutants, ces créatures s étaient regroupées en gangs ultraviolents et contemplaient les forteresses du Peuple Sain comme un eldorado à conquérir. Elles lançaient des attaques sporadiques contre les murs des Cités Protégées et se faisaient pulvériser par les milices. Jusqu'au jour où ces " presque morts " décidèrent de s'unir pour lancer l'ultime assaut...
"On l'avait laissé pour mort, et sans doute aurait-il mieux valu qu'il le soit. Pour tout le monde.
La saga explosive et haletante du Dobermann, monument du thriller français vendu à plus d'un million d'exemplaires à travers le monde.
Né en Janvier 1981, le Dobermann a, en 4 ans et 19 romans, dont l'un fut adapté au cinéma par Jan Kounen, taillé une sanglante balafre dans le paysage du polar. Une anthologie du braquage, un best-of du hold-up ! Côté flics, le mot d'ordre est clair : «Personne n'a envie de voir le Dobermann et son gang en prison. Il y a des voyous qu'on n'arrête pas. Le Dobermann, c'est pas un gangster comme les autres. Il respecte rien. Il braque les banques pour le plaisir. C'est pas humain. On n'a pas le droit de mépriser l'argent comme ça. L'argent, ça se mérite. Et le Dob, il mérite que d'aller au trou. Un trou bien profond avec de la terre par-dessus. Alors collez-moi un paquet de balles dans la tête de ces tueurs de flics !» Christini."
"On craignait une boucherie, ce fut l'abattoir.
Né en Janvier 1981, le Dobermann a, en 4 ans et 19 romans, dont l'un fut adapté au cinéma par Jan Kounen, taillé une sanglante balafre dans le paysage du polar. Une anthologie du braquage, un best-of du hold-up ! Côté flics, le mot d'ordre est clair : «Personne n'a envie de voir le Dobermann et son gang en prison. Il y a des voyous qu'on n'arrête pas. Le Dobermann, c'est pas un gangster comme les autres. Il respecte rien. Il braque les banques pour le plaisir. C'est pas humain. On n'a pas le droit de mépriser l'argent comme ça. L'argent, ça se mérite. Et le Dob, il mérite que d'aller au trou. Un trou bien profond avec de la terre par-dessus. Alors collez-moi un paquet de balles dans la tête de ces tueurs de flics !» Le problème, c'est que pour mettre le Dobermann dans le trou, faut d'abord le trouver. Pas facile de traquer un gibier qui a toujours le doigt sur la gâchette."
Né en Janvier 1981, le Dobermann a, en 4 ans et 19 romans, taillé une sanglante balafre dans le paysage du polar. Une anthologie du braquage, un best-of du hold-up ! Côté police, le mot d'ordre est clair : « Personne n'a envie de voir le Dobermann et son gang en prison. Y'a des voyous qu'on n'arrête pas. Le Dobermann, c'est pas un gangster comme les autres. Il respecte rien. Il braque les banques pour le plaisir. C'est pas humain. On n'a pas le droit de mépriser l'argent comme ça. L'argent, ça se mérite. Et le Dobermann, il mérite que d'aller au trou... Un trou bien profond avec de la terre par-dessus. Alors collez-moi un paquet de balles dans la tête de ces tueurs de flics ! » Le problème, c'est que pour mettre le Dobermann dans le trou, faut d'abord le trouver. Pas facile de traquer un gibier qui a toujours le doigt sur la gachette. C'est comme ça. Il y a des hommes qui naissent pour fleurir les cimetières, d'autres pour les remplir.