Nicholas Edwards vit avec sa femme et sa fille à La Nouvelle-Orléans où il est l'un des deux associés d'une entreprise qui rénove et revend des maisons dévastées par le passage de l'ouragan Katrina. Entre sa famille et sa collection de timbres, il oublie peu à peu que, dans une autre vie, son métier était d'éliminer des gens. Lorsque l'économie régresse et que ses affaires périclitent, un nouvel ouragan survient sous la forme d'un coup de téléphone de son ancien agent, l'énigmatique et truculente Dot, qui lui propose de reprendre du service et de redevenir l'homme qu'il fut : Keller, le tueur à gages. De New York aux Caraïbes, et jusqu'au grand final qui se déroule à Cheyenne,où une veuve lui demande de gérer la collection de timbres de son défunt mari, Keller va devoir franchir les turbulences du cyclone tout en préservant la vie de Nicholas Edwards...
Libraire de jour, voleur la nuit, Bernie Rhodenbarr se voit confier une mission par un étrange commanditaire. Ce M. Smith, qui avoue ne pas apprécier l'oeuvre de F. Scott Fitzgerald, le charge de dérober un manuscrit original de celui-ci pour sa collection personnelle. Puis il lui demande de dérober une cuillère, un portrait, et toutes sortes de boutons. Drôle de collection... Par-dessus le marché, voilà qu'un cadavre est retrouvé au milieu d'un appartement, et la police aimerait bien recueillir l'avis de Bernie à ce sujet. Épaulé par sa meilleure amie, Carolyn, toiletteuse pour chiens, le gentleman cambrioleur new-yorkais aura besoin de toute son astuce pour démêler cette histoire.
«Il n'est pas comme les autres.» Le dénommé Chance, lorsque Matt Scudder le lui demande, laisse partir sans problème une fille qui travaillait pour lui. Il ne menace pas, ne frappe pas, souhaite bon courage et demeure un mystère : ce jeune mac noir de peau, réservé, entouré de filles choisies avec goût, expert en art africain, est un inconnu pour tout le monde. Personne ne sait où il habite et s'il est vraiment ce qu'il paraît : un homme sûr de lui entouré de huit millions de New-Yorkais en sursis. Matt Scudder, entre deux réunions des Alcooliques Anonymes, va faire sa connaissance. Un forcené massacre des putes. Il en est que Matt connaissait bien et Chance, si discret, n'est jamais loin...
Quand Kenan Khoury reçoit un coup de fil anonyme exigeant une rançon s'il veut revoir sa femme en vie, il n'hésite pas une seconde à payer. Mais c'est dans le coffre d'une voiture et sous forme de pièces détachées sanguinolentes que notre homme la retrouve.
Le problème est que Khoury, dealer notoire de Brooklyn, veut rester loin du regard de la police. C'est donc tout naturellement qu'il fait appel au célèbre détective privé et ancien flic alcoolique Matt Scudder.
À l'aide d'acolytes hauts en couleur comme Manhattan en regorge - un apprenti rappeur, de jeunes hackers, sans oublier la belle Elaine -, Matt se jette corps et âme dans une enquête qui fait rapidement surgir de nouvelles pièces d'un puzzle macabre, bien plus complexe que prévu. Et lorsqu'une autre femme disparaît, c'est une course contre la mort qui s'engage...
- Promis juré, cette mission sera la dernière. John Keller, tueur à gages, en a sa claque. Un dernier job facile, bien payé, et à lui la belle vie de retraité. Enfin presque : le meurtre commandité n'a jamais lieu, et Keller se retrouve accusé du meurtre d'un sénateur. Un coup monté, à l'évidence. Où se cacher quand tous les flics d'Amérique sont à vos trousses ? Pour une retraite paisible, on a fait mieux...
- Né à Buffalo en 1938, Lawrence Block compte parmi les géants du policier américain. Il est l'auteur de nombreux romans policiers parmi lesquels La Balade entre les tombes, Le Blues du libraire ou Tous les hommes morts, disponibles en Points.
Nous sommes à la fin des années 70.
L'illustre privé Matt Scudder a déjà quitté la police et tente, dans les bars, d'oublier Estrellita Rivera, la fillette qu'il a tuée au cours d'une arrestation mouvementée. Il est seul. Jusqu'à Jacob Jablon, alias " La Toupie ", qui ne lui téléphone plus. et dont on repêche le cadavre, dans l'East River.
Est-ce le détective qui a contracté une dette à l'égard de l'escroc, ou l'inverse ? Peu importe. Scudder se lance sur la piste de celui - ou de celle - qui a commandité l'assassinat de son ami.
Il découvre que celui-ci faisait chanter trois personnes très haut placées. Toutes trois avaient d'excellentes raisons de faire exécuter " La Toupie ". Toutes trois ont maintenant d'aussi bonnes raisons de faire disparaître Scudder.
Keller, l'illustre tueur à gages, nous revient après une longue absence. Personne ne s'en plaindra. S'il n'a pas son pareil pour occire tel ou tel, jamais il n'en tire vanité : l'important, c'est que le client soit content et que la victime ne souffre pas inutilement.
Evidemment, il y a parfois des problèmes plus complexes à résoudre - lorsque, par exemple, la victime subodore qu'on lui veut du mal et demande au tueur de renvoyer l'ascenseur au commanditaire. Ne pas s'inquiéter pour si peu : avec Keller, il y aura une solution. Radicale certes, mais quoi ? Encore une fois, le client est roi. Et les amours là-dedans ? Elles sont brèves, et d'autant plus fortes.
Mais... l'heure de la retraite aurait-elle sonné pour Keller ? Allons, donc !
Pourquoi la splendide portia carr, prostituée anglaise exerçant ses talents de dominatrice à new york, tient-elle tellement à porter plainte contre jerry broadfield, le flic qui a décidé de dénoncer au maire la corruption qui sévit au sein de sa police ? n'a-t-elle pas compris qu'elle risquait au minimum d'être expulsée des etats-unis ? agit-elle sous la pression de personnes haut placées qui ne supportent pas la croisade du chevalier blanc ?
La question n'a pas le temps d'être résolue qu'on retrouve portia assassinée dans l'appartement de jerry broadfield, lequel est promptement expédié en prison.
Se méfiant de l'enquête menée par ses collègues, il fait appel au privé matt scudder qui, sans illusion, accepte cette mission.
«Si j'avais dit à ma soeur que j'étais mourant, elle serait peut-être encore en vie.» L'homme qui parle à Matt Scudder est condamné par un virus. Il a l'intime conviction que son beau-frère a massacré sa femme et l'idée même qu'il puisse s'en sortir lui est inconcevable. Il est également sûr qu'il recommencera. Lui ou ses complices, ces autres fous à l'apparence si banale. Vertus publiques, vices cachés... Matt Scudder, lors de son enquête, croisera le geste d'un homme recoiffant tendrement les cheveux de son fils. Ce geste, il l'a déjà vu... Lorsque les circonstances de la scène lui reviendront brutalement en mémoire, il basculera vers l'indicible.
Sans scrupule, l'agent littéraire Anthea Landau veut vendre sa correspondance avec Gulliver Fairborn, l'écrivain fétiche du grand bouquiniste cambrioleur Bernie Rhodenbarr. Auteur d'un roman qui a bouleversé l'Amérique des années 60 (on songe à Salinger), Fairborn a toujours voulu garder l'anonymat. C'est dire s'il se sent menacé par les intentions de son agent.
Heureusement, Bernie veille au grain et lorsque Alice Cottrell, une ex de Fairborn, lui demande de l'aider à récupérer les lettres, il accepte aussitôt, se rend à l'hôtel où réside Anthea et s'apprête à mener à bien sa tâche lorsque... Anthea Landau serait-elle donc morte, là, dans son lit ?
Arrêté pour un menu cambriolage auquel il n'a pu s'empêcher de procéder chez Anthea Landau, Bernie se voit contraint d'enquêter, et très sérieusement, s'il ne veut pas être inculpé d'un meurtre que, bien sûr, il n'a pas commis.
Métamorphose de la « ghost story »: une histoire non pas de fantôme, mais de maladie mentale, de maison malveillante et, surtout, l'étude attentive des réactions provoquées par la maison
haineuse sur ses habitants - sur une, la plus faible, en particulier : Ariel, une enfant de 12 ans. Un roman étrange du maître du polar américain.
Même si son ami Marty Gilmartin lui fait confiance pour trouver l'épithète qui convient, Bernie Rhodenbarr, le célèbre libraire-cambrioleur, ne s'intéresse pas qu'aux livres et au mot juste. C'est vrai aussi que qualifier correctement ce fumier ? ce mufle ? ce coquin ? etc., etc. de Crandall Rountree Mapes rapporterait sans doute moins qu'aller visiter nuitamment son appartement de Manhattan. Et donc... pourquoi pas ? Mais avant, aller prendre l'air. Se promener. Flâner et... se laisser tenter par l'occasion ? Cet appartement... là ? Entrer n'est bien sûr pas un problème. Sortir, par contre, pourrait, surtout quand on reste coincé sous le lit, s'avérer nettement plus difficile. Ainsi commence un des romans les plus fous de l'illustrissime série des Rhodenbarr.
Un jeune mac noir expert en art africain.
Des putes qu'on lui tue, avec un acharnement forcené. un ancien flic reconverti dans le privé, et qui boit, et qui sait qu'il boit trop, qu'il boit à mort. et, tout autour, huit millions de new-yorkais qui mourront un jour, chacun à sa façon, sordide, idiote, cruelle.
Voler un Mondrian pour payer la rançon d'un chat, rien de plus facile pour Bernie Rodenbarr qui charme les serrures comme d'autres les femmes. Mais quand les cadavres s'accumulent, que les flics s'en mêlent et que les Mondrian se multiplient, il ne suffit pas que les doigts soient agiles, il faut que l'intellect le devienne aussi.
Deux de ses lieutenants ayant été abattus, mick ballon, le grand irlandais assassin, philosophe et buveur de whisky, demande à son ami, le détective privé matt scuddere de retrouver les coupables.
Matt hésite : que fera mick s'il les lui livre ? leur tranchera-t-il la tête ? mais peu après, matt est attaqué par des voyous tandis que le bar de mick est dévasté par une bombe. qui plus est, jim faber, le responsable de matt scuddere aux " alcooliques anonymes ", est tué. fini les hésitations : matt enquêtera et ne fera pas de quartier. parce que les crimes passés doivent toujours être soldés à l'approche de la mort et du jugement dernier, matt scuddere et mick ballou se lancent dans une terrifiante enquête, oú à chaque page le sang appelle le sang.
Pourquoi diable la belle Ilona décide-t-elle un jour d'entrer dans la librairie du bouquiniste-cambrioleur Bernie Rhodenbarr plutôt que dans une autre ? Et pourquoi l'invite-t-elle ensuite au cinéma où l'on passe une rétrospective Bogart ? Pour qu'il tombe amoureux d'elle ? Et si, plus prosaïquement, elle couvrait des opérations bancaires louches destinées à financer une cause nationaliste perdue d'avance ?
Tel est le dilemme auquel est confronté Bernie lorsqu'il fait le lien entre cet émoi qui le trouble et la visite d'un certain Hugo Canlemas qui, moyennant finances, l'a prié de voler un porte-documents frappé d'une couronne royale.
C'est alors que de bien sinistres personnages surgissent d'un passé, certes d'opérette, mais où l'assassinat et la corruption étaient monnaie courante...
Cale Hanniford, la cinquantaine, vient de perdre sa fille, Wendy, tuée par Richard Vanderpoel, le jeune homme avec lequel elle vivait à New York. Couvert de sang et incohérent, celui-ci a été arrêté et jeté en prison, où il s'est pendu. Pour la police le dossier est clos, cependant Hanniford veut le rouvrir : il est sûr que Richard est coupable, mais, rongé par le remords de ne pas avoir fait assez pour sa fille, il aimerait savoir pourquoi elle a fini par se prostituer et mourir assassinée.
Matt Scudder comprend vite qu'Hanniford lui ment sur un point capital. Pressé de répondre, celui-ci finit par lâcher que Wendy n'était sa fille que par adoption. Flairant l'arnaque, Scudder décide d'enquêter : la police est-elle allée trop vite en accusant le fils d'un pasteur élevé dans le strict respect de la loi divine ?
Le couple hollander a été assassiné.
La cousine de leur fille kristin, lia parkman, demande à scudder d'enquêter sur ce meurtre, alors que la police a pourtant clos le dossier. scudder vient de perdre sa première femme, celle qu'il a abandonnée du temps oú il buvait. en outre, un de ses fils paraît se conduire comme lui à cette époque : il boit, est incapable de garder un travail et, plus grave, pique dans la caisse. un sentiment de culpabilité le gagne, mais il y a plus.
Lia parkman est jalouse de sa cousine qui va hériter, et devant sa sincérité, scudder est prêt à écouter. de plus, la disparition des deux meurtriers est trop belle pour qu'on se contente des explications un peu trop convaincantes de la police.
Les meilleures nouvelles policières américaines choisies et présentées par Lawrence Block On ne présente plus Lawrence Block, romancier prolifique, créateur du privé Matt Scudder. Il nous propose sa vision du noir à travers des textes d'auteurs célèbres (Russell Banks, Joyce Carol Oates, Bill Pronzini, Clark Howard), mais aussi d'écrivains moins connus qui ont été révélés par des revues, grand vivier de la fiction outre-Atlantique. Sous la houlette d'Otto Penzler et selon le même principe que les années précédentes, voici les vingt nouvelles élues par Lawence Block. Un choix très éclectique qui fait une belle place au genre policier mais aussi à toutes les autres facettes du noir.
The first novel in the explosive Matthew Scudder Series. The tenth novel in the series - A WALK AMONG THE TOMBSTONES - is set to be a major Hollywood film, starring Liam Neeson. A pretty young girl is butchered in her Greenwich Village apartment. The prime suspect, a minister's son, is found dead in his jail cell. As far as the NYPD is concerned, the case is closed. But ex-cop Matt Scudder, is persuaded to look into the case by the dead girl's father. And suddenly he's up to his neck in sleaze and corruption, phoney religious cults and murderous lust. In New York's underbelly, the children have no choice but to pay the price for their parent's most unspeakable sins...
A brilliant, fast-paced thriller from 'a flat out entertainer' Daily Telegraph Also a major film starring Liam Neeson, Dan Stevens and Ruth Wilson Kenan Khoury's wife never returned from her shopping trip - at least, not alive. A ransom is demanded and paid; and his wife is duly returned to him - in small pieces in the boot of an abandoned car. But as Khoury's wealth has not come entirely honestly, he can't go to the police. PI Matt Scudder is left to speculate on the motives of a very unusual kidnapper. And soon he is on the trail of a pair of ruthlessly sadistic psychopaths whose cruel games have only just begun...