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Ollivier Pourriol
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Facile : l'art de réussir sans forcer
Ollivier Pourriol
- Michel Lafon Poche
- 15 Avril 2021
- 9791022404099
L'intelligence, c'est la ruse : ne pas prendre la difficulté de face mais inventer un chemin détourné qui atteint mieux le but, sans effort et avec élégance. Ce livre propose d'entrer dans les secrets de cet art et d'apprendre à le pratiquer, en nous promenant dans les domaines les plus variés, du sport à l'art en passant par la gastronomie ou l'amour. Nous croiserons des philosophes comme Descartes ou Deleuze, des écrivains comme Stendhal ou Françoise Sagan, des artistes comme la pianiste Hélène Grimaud ou le cuisinier Alain Passard. Mais aussi des athlètes comme Yannick Noah, Zinedine Zidane ou Jacques Mayol.
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« En sport comme en art ou en science, un geste radicalement nouveau ouvre une voie, empruntée ensuite par d'autres qui se sentent autorisés à l'imiter. Un geste contre-exemplaire commis par un joueur exceptionnel provoque un court-circuit dans le cerveau des joueurs futurs. Ainsi, de Cantona à Evra via Anelka, du coup de boule de Zidane à la grève du bus en passant par la main de Henry, il y a un lien, un fil rouge, une continuité : le mauvais geste du grand champion, qui avait pour vocation de rester un chef-d'oeuvre sans descendance, s'est multiplié de manière anarchique. Il s'est mis à faire naître, par mimétisme, toute une série de répliques de basse qualité. Nous voici entrés dans l'ère de l'insulte. »
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Ollivier Pourriol, agrégé de philosophie, est romancier et essayiste. Il anime depuis plusieurs années des séances Studio-philo au cinéma MK2 Bibliothèque (Paris 13e).
Peut-on changer de vie sans y laisser sa peau ? Tel est le dilemme de Fight Club.
Comment gagner en puissance et en joie sans détruire les autres ou le monde ? s'interrogeait Spinoza. Telle est la quête des X-men.
Et si un malin génie nous trompait, si rien n'était réel, demandait Descartes. C'est l'hypothèse de Matrix.
Faut-il craindre la passion ou y plonger corps et âme ? American Beauty nous éclaire sur le coup de foudre.
Clair et pédagogique, Cinéphilo se promène entre images et concepts pour nous rendre sensible la philosophie. C'est toute l'histoire de la philosophie qui prend vie, accessible et passionnante, sous les traits de Brad Pitt, Tom Cruise, Emmanuelle Béart ou Keanu Reeves. -
Sick of striving? Giving up on grit? Had enough of hustle culture? Daunted by the 10,000-hour rule? Relax: As the French know, it''s the best way to be better at everything. In the realm of love, what could be less seductive than someone who''s trying to seduce you? Seduction is the art of succeeding without trying, and that''s a lesson the French have mastered. We can see it in their laissez-faire parenting, chic style, haute cuisine, and enviable home cooking: they barely seem to be trying, yet the results are world-famous, thanks to a certain je ne sais quoi that is the key to a more creative, fulfilling, and productive life. For fans of both Mark Manson''s The Subtle Art of Not Giving a F*ck and Alain de Botton''s How Proust Can Change Your Life, philosopher Ollivier Pourriol''s book draws on the examples of such French legends as Descartes, Stendhal, Rodin, Cyrano de Bergerac and Francoise Sagan to show how to be efficient a la francaise, and how to effortlessly reap the rewards.
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Fidèle à sa méthode d'explication de la philosophie par le cinéma (et accessoirement du cinéma par la philosophie), Ollivier Pourriol décode les grandes théories du désir en les illustrant par des scènes de films célèbres. Et répond ainsi, de façon extrêmement vivante, à toutes les questions que nous nous posons - ou devrions nous poser :
- Qu'est-ce qui rend un objet désirable ? Réponse avec René Girard et Blow-Up.
- Pourquoi désire-t-on la Lune ? Réponse avec Hegel et L'Étoffe des héros.
- Se rendre désirable, est-ce se faire aimer ? Réponse avec Sartre et Les liaisons dangereuses.
- Comment tombe-t-on amoureux ? Réponse avec Stendhal et American Beauty.
- Pourquoi désire-t-on la violence ? Réponse avec Hegel, Girard et Fight Club.
- Désire-t-on une femme ou le paysage caché dans cette femme ? Réponse avec Deleuze, Proust, et Casino.
- Comment se répand la peste du désir ? Réponse avec Girard et Mort à Venise.
- Comment met-on fin à la rivalité inscrite dans le désir ? Réponse avec Girard, Le Parrain et End of Violence.
- Le désir est-il un manque ou une richesse ? Réponse avec Platon, Deleuze, Requiem for a Dream et American Beauty.
Au final, une véritable philosophie du désir se dessine. Précise, solide, utile mais aussi accessible, imagée, ludique.
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Le coup de boule de Zidane en finale de la Coupe du monde 2006 ? Un geste prémédité (contrairement à ce qui a été dit) qui confisque la victoire aux Italiens et dévoile le vrai visage de ce match : un duel Zidane/Materazzi.
La folle joie de Platini courant bras levés après un penalty malgré les trente-neuf personnes qui ont trouvé la mort, piégées dans l'effondrement du stade du Heysel ? Il avouera plus tard à Marguerite Duras que c'est ce jour-là qu'il est véritablement devenu un homme, connaissant successivement et dans le même élan sa plus grande joie et sa plus grande honte.
La main de Maradona en quart de finale de la Coupe du monde 1986 ? Il reconnut avoir marqué un but " un peu avec la tête de Maradona " et " un peu avec la main de Dieu ", révélation que Dieu ne démentit pas.
Éric Cantona répondant à l'insulte d'un supporter en lui sautant dessus pied droit en avant tel un as du kung fu ? Par ce coup de sang, " Éric the king " faisait trembler la frontière a priori étanche entre le terrain et le monde réel, comme si un personnage de fiction s'échappait pour se mesurer aux mortels.
Thierry Henry qui, de la main, qualifie la France au mondial 2010 ? Un geste qui pose la question de la fin et des moyens, et du prix du silence au milieu d'un vortex de commentaires tous plus moralisateurs ou cyniques les uns que les autres. Examinant successivement ces cinq cas, Ollivier Pourriol montre que seuls les dieux du stade sont capables de ces " mauvais gestes " là : tellement contre-exemplaires, impensables, qu'ils en deviennent finalement exemplaires. De quoi ? D'une forme de beauté par-delà le bien et le mal, d'une liberté pure et scandaleuse qui nous fascine secrètement, quand bien même nous voudrions les condamner.
Qu'on ne s'y trompe pas : les nouveaux jeux du cirque sont la Coupe du monde de football, et ce que viennent voir ses milliards de téléspectateurs sont moins les beaux gestes que les mauvais.
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UNE PHILOSOPHIE DE VIE POUR RÉUSSIR FACILEMENT !
L'intelligence, c'est la ruse : ne pas prendre la difficulté de face, inventer un chemin détourné, qui atteint mieux le but, sans effort, avec élégance. Ce livre propose d'entrer dans les secrets de cette facilité à la française, et d'apprendre à la pratiquer, en nous promenant dans les domaines les plus variés, du sport à l'art, en passant par la gastronomie ou l'amour. Nous croiserons des philosophes comme Descartes ou Deleuze, des écrivains comme Stendhal ou Françoise Sagan, des artistes comme la pianiste Hélène Grimaud ou le cuisinier Alain Passard. Mais aussi des athlètes : Yannick Noah, Zinedine Zidane, l'apnéiste Jacques Mayol ou le funambule Philippe Petit. Enfin Cyrano de Bergerac ou Valmont... tous lancés à la poursuite de cet idéal français qui consiste, dans un subtil équilibre, à savoir suivre sa pente sans jamais tomber dans la facilité.
UNE PHILOSOPHIE DE VIE POUR RÉUSSIR SANS FORCER Normalien, agrégé de philosophie et créateur des conférences " Studio Philo ", Ollivier POURRIOL est un essayiste (Cinéphilo, Éloge du mauvais geste, On/Off) et romancier reconnu (Méphisto valse, Le Peintre au couteau, Une fille et un flingue). Ses analyses sont sollicitées aussi bien par la presse écrite, la radio que la télévision. -
« Dans la vie, on a le droit de tout rater, du moment qu'à la fin ça fait une bonne histoire. Il y a une manière de raconter ses échecs, si on s'y prend bien, qui peut les transformer en succès. Je ne vous parle pas de mentir, mais de bien choisir ses mots. Un film c'est un hold-up. » Aliocha, Dimitri, deux frères, un désir : faire un film. Étudiants en cinéma, très fauchés, un peu voyous, ils sortent de nulle part et ne comptent pas y retourner. Armés d'un téléphone portable et de leur seul culot, ils racontent leur coup de poker, joué en plein festival de Cannes, avec la complicité involontaire de deux stars internationales, Catherine D et Gérard D, et du mythique Jean-Luc G. Imposteurs ou petits génies ? L'histoire jugera...
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Pendant toute la saison 2011-2012, Ollivier Pourriol a tenu le rôle du " chroniqueur intello ", dans le " Grand Journal ", après Frédéric Beigbeder et Ali Baddou. Ce fut pour lui une année de découvertes et de rencontres, parfois inoubliables.
On/Off est le journal de cette expérience hors du commun, où l'écrivain chroniqueur nous fait revivre quelques émissions clés avec des personnalités qui se révèlent parfois très différentes à l'antenne et en coulisses.
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La philo dans un fauteuil ; comprendre Hegel, Kant, Descartes, Spinoza, Rousseau et Freud en allant au cinéma
Ollivier Pourriol
- Nil
- 6 Septembre 2012
- 9782841116249
Fidèle à sa méthode d'explication de la philosophie par le cinéma, Ollivier Pourriol propose de préparer le bac philo en compagnie de Robert de Niro, Brad Pitt ou Al Pacino.
Utopique ? Non, car le créateur de " studiophilo " prépare depuis plusieurs saisons des classes générales et technologiques à l'épreuve de philo du bac. dans des salles de cinéma. Et ça marche !
Grâce à une vingtaine de films connus, Ollivier Pourriol fait comprendre la pensée de Hegel, Spinoza, Descartes, Kant, Rousseau et Freud. Ainsi vous découvrirez que les concepts de Hegel sont mis en scène dans certains passages de Heat ou Kingdom of Heaven ; ceux de Kant dans Le Parrain ou Showgirls et ceux de Descartes dans Matrix ou Titanic, etc.
En six chapitres qui correspondent chacun à un auteur, le livre balaye l'essentiel du programme de terminale - sections générales ou professionnelles. Mieux, il permet au lecteur de s'approprier les principaux outils de la philosophie puisque les principaux concepts (fait/droit ; différence de degré/différence de nature) circulent d'un chapitre à l'autre, d'un auteur à l'autre, d'un film à l'autre. Bref, la philosophie se transforme réellement en spectacle.
À la fois introduction aux classiques et boîte à outil pour le bac ce " cinémanuel " de philosophie est une façon ludique et efficace d'apprendre la philosophie. Le livre idéal pour des lycéens à quelques semaines du bac et pour tous ceux qui voudraient se remettre à la philo sans avoir l'impression de retourner en cours.
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Quoi de plus absurde, de plus inhumain que la guerre ? Et pourtant, quoi de plus rationnel, de plus humain ? Les animaux ne se font pas la guerre !
Une guerre se déclare. Elle ne naît pas de relations entre individus mais entre États, autrement dit, la guerre naît du droit : la guerre est une invention humaine. Et elle a même - c'est terrible à dire - sa beauté. Un philosophe aussi pacifiste qu'Alain reconnaît que l'homme est beau, à la guerre. Par son sacrifice, il prouve que le contrat social mérite qu'on donne sa vie pour le défendre.
Ce paradoxe, on ne le saisit jamais aussi bien qu'au cinéma, qui nous fait partager à hauteur humaine les contradictions de la guerre, son sens aussi bien que son non-sens.
Dans ce « Cinéphilo », Ollivier Pourriol parle notamment des Duellistes, de Kingdom of Heaven, 300, Troie, Il faut sauver le soldat Ryan, Capitaine Conan, Les Sentiers de la gloire, La Ligne rouge... En compagnie de Walter Benjamin, Alain, Rousseau, Hegel. -
L'être humain peut-il être conçu comme autre chose qu'un être contre-nature ?
Hegel a appelé « négativité » notre capacité indéfinie à transformer ce qui nous entoure, à travailler, à créer du nouveau et à nous créer en retour. Toute notre puissance repose sur cette dénaturation. Est-il possible d'envisager aujourd'hui quelque chose comme une « renaturation » ? Et si oui, à quoi pourrait bien ressembler ce « contrat naturel » ?
En attendant, le cinéma nous offre à l'envi les images d'une catastrophe future, où le monde se retrouve dévasté par nos soins. À quoi nous servent ces images, et que nous veulent-elles ? Nous mettent-elles en demeure de fonder une véritable écologie ou sont-elles elles-mêmes une pollution supplémentaire ?
Dans ce « Cinéphilo », Ollivier Pourriol parle de Soleil vert, La Guerre des mondes, L'Âge de glace, Blade Runner, Titanic, Le Jour d'après, Une vérité qui dérange... En compagnie de Leibniz, Descartes, Hegel, Michel Serres. -
« La visibilité est un piège » disait Michel Foucault dans Surveiller et punir. Nous sommes passés en deux siècles à peine d'un monde discret, où l'individu, à moins d'être glorieux, menait une existence invisible, à une société de l'hypervisibilité et de la surveillance permanente.
Comment et pourquoi en sommes-nous arrivés là ? Quel est l'avenir de la surveillance ? Peut-on y résister ? Voilà quelques questions que le cinéma nous aidera à poser, et peut-être à résoudre...
Dans ce « Cinéphilo », Ollivier Pourriol parle notamment de Minority Report, Truman Show, Papillon, Braveheart, Demolition Man, Orange mécanique, 1984... En compagnie de Michel Foucault et de Rousseau. -
Ollivier Pourriol est né en 1971. Grandit en Provence, habite à Paris. A vécu un an à Londres, deux aux Etats-Unis. Normalien, agrégé, enseigne la philosophie, avec une prédilection pour Alain, Lagneau, Deleuze, Foucault, et Diogène. Ecrit des scénarios (jeu vidéo, réalisation d'un court-métrage). Mephisto Valse est son premier roman.
Le Livre :
Une histoire de vengeance sophistiquée. Le cadre : le Concours Chopin de Varsovie, une des compétitions de piano les plus renommées au monde, qui n'a pas attribué de premier prix depuis quinze ans. La sélection est sans pitié : rivalités exacerbées, public snob et passionné, jury partial. La course au virtuose est ouverte. Et la chasse au pianiste également, puisqu'un assassinat va avoir lieu...
Notre guide : un pianiste anonyme, sur le point de renoncer à faire carrière, voit sa vie basculer dans le talent et dans le crime. Sous la coupe du fascinant Ostreich, musicien émérite et président du jury, il subit une série d'épreuves qui vont tout à la fois le briser et le révéler. Energiquement secoué par ce grand provocateur, il se met à jouer différemment, aussi bien côté piano que côté coeur...
Passera-t-il les éliminatoires ? Saura-t-il conquérir enfin une femme ?
Car le spectre du passé guette : un mystérieux vieillard hante la salle de concert et va faire sombrer cette initiation dans le tragique. L'homme paraît surgi d'une autre époque : cape noire, manchot, il tient des discours aussi incohérents qu'inquiétants. On prétend, dans les couloirs, que ses talents de pianiste l'auraient sauvé des camps de la mort... -
« Zao Wou-Ki confesse dans son Autoportrait que s'il n'avait pas été peintre, il aurait certainement été chirurgien. Sans la confiance de son père, dit-il, « peut-être serais-je devenu chirurgien, comme je l'avais imaginé. Métier de vocation, aussi, exercé très souvent parmi mes plus proches amitiés et mes fidèles collectionneurs, comme s'il y avait entre l'exercice de la médecine, notamment de la chirurgie, et ma peinture, des affinités particulières que je n'ai jamais cherché à comprendre. »
Un peintre et un chirurgien, qu'ont-ils en commun, à part le couteau ? Nietzsche voulait philosopher à coups de marteau, mais précisait-il aussitôt, il s'agissait du marteau des médecins, qui tapote avec précaution sur les cavités. Le scalpel peut-il échapper à la tentation de la frappe chirurgicale, si mal nommée, au fond si bien nommée ? La chirurgie est un acte de violence consentie, ce qui n'enlève rien à sa violence, et lui ajoute même, à vrai dire, une inquiétante étrangeté.
Un chirurgien fait le portrait d'un peintre « au couteau ». Mais qui porte le couteau ? Le peintre, 85 ans, hospitalisé et opéré, ne peut plus guère exercer. « Docteur, est-ce qu'il pourra repeindre ? » demande sa femme, angoissée. C'est donc le chirurgien qui est armé. Subir le pouvoir des médecins -dont on dit qu'il va déclinant, mais c'est là une appréciation d'abord économique- est une expérience qui nous guette tous, ou que nous avons déjà traversée. Quel espoir nous reste-t-il entre leurs mains ?
La manière dont le peintre va nous quitter ne laissera pas notre chirurgien indifférent. Elle le laissera exactement différent, comme s'il avait subi non pas un échec médical, mais une initiation, un apprentissage, le temps de quelques conversations avec ce vieil homme cultivé fourmillant d'anecdotes, évoquant un monde disparu, où l'on croise Dubuffet, Camus, Simone de Beauvoir, Nicolas de Staël correspondant avec René Char, Braque, Music, Gischia. Sur son lit de mort, le peintre convoque ses amis, ses fantômes, qu'il va bientôt rejoindre, ses femmes, dont la dernière veille dans la salle d'attente. Après une vie consacrée à la couleur, il prend la vieillesse et la dégradation de son corps comme l'occasion, enfin, de voir, comme disait Rousseau, intus et in cute, à l'intérieur et sous la peau. D'où les couleurs viennent. Les couleurs de la vie.
Quel couteau permet d'aller au plus profond ? Celui qui tranche ou celui qui étale ? La question est ouverte, par cette amitié singulière entre un grand peintre sur le point de mourir et son chirurgien. Et même si se lier, dit Edmond Jabès, « c'est passer la corde autour d'une lame », c'est un chirurgien au regard métamorphosé qui nous raconte la dernière victoire du peintre. Ou comment finir en beauté. »
Ollivier Pourriol -
" Bonjour, Police de New York.
Ainsi se présente le héros qui va mener l'enquête sur le type qui aurait sauté du 29, étage, un garçon très gentil, dit la vieille du 28e. Malheureusement, en bas, il n'y a rien, qu'une voiture brûlée. Vous voyez le problème : pas de corps, pas d'enquête. Etage par étage, notre inspecteur du NYPD va descendre et chercher des indices, procéder à l'autopsie de l'immeuble. Tout vivre, tout revivre, tout rencontrer, se promener dans le cerveau-monde de New York, plonger dans ses souvenirs et tomber dans l'amour : to fall in love.
Tel est le programme de ce livre gratte-ciel. " Polaroïde est l'instantané d'une réalité délirante, traversé de drôles de témoins, de dérives poétiques et d'éclairs policiers, sous la menace d'un nouvel orage terroriste.
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Marc Petit ; le chemin se fait en marchant
Ollivier Pourriol, Claudie Gallay, Philippe Dagen
- Abbaye D'Auberive
- 5 Avril 2013
- 9782918160090
Monographie du sculpteur Marc Petit, de ses oeuvres de jeunesse jusqu'à ses derniers travaux, 170 sculptures et dessins reproduits. Edition bilingue Français / anglais. Textes de Philippe Dagen, critique d'art au magazine 'Le Monde', Claudie Gallay, romancière et Ollivier Pourriol, philosophe, photographies, Sylvain Crouzillat.