Cette dernière pièce de Fausto Paravidino réactive la grande comédie italienne, en mêlant tragédie d'inspiration biblique et drame socio-économique de notre temps.
La médecine s'étudie dans les livres, mais elle ne s'apprend qu'au bout de plusieurs années de pratique sur des êtres humains complexes, sujets à l'inquiétude. Il en va de même pour le théâtre. Dans cet ouvrage, David Mamet partage ses anecdotes et ses conseils, en laissant place à la fantaisie qu'on lui connaît. Sans compromis, il bouleverse nos certitudes et nous questionne : le théâtre doit-il être politique ? Qu'est-ce que la vie intérieure d'un personnage ? Pourquoi l'acteur ne doit-il ni rire ni pleurer, et au contraire toujours conserver son portefeuille sur lui, même sur scène ? Voici un livre stimulant dans lequel David Mamet nous offre une bouffée d'air frais.
David Mamet est connu pour ses pièces de théâtre et ses films qui ont fait le tour du monde. Il est à la fois acteur, producteur, réalisateur, scénariste, auteur et essayiste.
Des années 1930 à sa mort en 1953, Joseph Staline a fait exécuter plus d'un million de Soviétiques. Des millions d'autres ont été victimes de travail forcé, de déportation, de famine, de détention et d'interrogatoires. Dans cet ouvrage, Norman M. Naimark relate cette tragique histoire et enquête sur la nature exacte de ces crimes : il conteste la notion largement répandue selon laquelle les crimes de Staline ne constitueraient pas un génocide - notion que les Nations Unies définissent comme le meurtre prémédité et organisé d'un groupe de personnes en raison de leur race, de leur religion, de leur nationalité ou de leur ethnie.
Norman M. Naimark explique comment Staline est devenu un tueur en série, au regard des épisodes de destruction systématique de son peuple : la répression des koulaks, la famine ukrainienne, la purge des nationalités et la Grande Terreur - tout en les comparant aux autres génocides de l'histoire. Le livre met en avant l'argument important selon lequel les massacres perpétrés dès les années 1930 seraient en effet des actes de génocide, le dictateur en étant lui-même à l'origine. En outre, Naimark rapproche les crimes de Staline de ceux du plus célèbre génocidaire de l'histoire, Adolf Hitler.