Jamie n'est pas un enfant comme les autres : il a le pouvoir de parler avec les morts. Mais si ce don extraordinaire n'a pas de prix, il peut lui coûter cher. C'est ce que Jamie va découvrir lorsqu'une inspectrice de la police de New York lui demande son aide pour traquer un tueur qui menace de frapper... depuis sa tombe.
Obsédant et émouvant, ce nouveau roman de Stephen King nous parle d'innocence perdue et des combats qu'il faut mener pour résister au mal.L'auteur se met à hauteur de petit bonhomme avec une aisance bluffante, pour chroniquer un apprentissage. Sabrina Champenois, Libération.Stephen King au top de sa forme. Clementin Goldszal, Elle.Une écriture toujours élégante. Dense et accrocheur. Michel Valentin, Le Parisien.Traduit de l'anglais (États-Unis) par Marina Boraso.
Les journalistes le savent : si ça saigne, l'info se vend. Et l'explosion d'une bombe au collège Albert Macready est du pain bénit dans le monde des news en continu. Holly Gibney, de l'agence de détectives Finders Keepers, travaille sur sa dernière enquête lorsqu'elle apprend l'effroyable nouvelle en allumant la télévision. Elle ne sait pas pourquoi, mais le journaliste qui couvre les événements attire son attention...
Quatre nouvelles magistrales, dont cette suite inédite au thriller L'Outsider, qui illustrent une fois de plus l'étendue du talent de Stephen King.
En pleine nuit, à Minneapolis, des intrus pénètrent dans la maison de Luke Ellis, un surdoué de douze ans, tuent ses parents et le kidnappent. Quand le jeune garçon se réveille, à l'Institut, la chambre où il se trouve est semblable à la sienne - si ce n'est l'absence de fenêtre. Dans le couloir, d'autres portes cachent d'autres enfants, dotés comme lui de pouvoirs psychiques. Que font-ils là ? Qu'attend-on d'eux ? Et pourquoi ne cherchent-ils pas à s'enfuir ?
L'Institut nous entraîne dans un monde totalitaire... qui ressemble étrangement au nôtre.
2033. Une guerre a décimé la planète. La surface, inhabitable, est désormais livrée à des monstruosités mutantes. Moscou est une ville abandonnée. Les survivants se sont réfugiés dans les profondeurs du métropolitain, où ils ont tant bien que mal organisé des microsociétés de la pénurie.
Dans ce monde réduit à des stations en déliquescence reliées par des tunnels où rôdent les dangers les plus insolites, le jeune Artyom entreprend une mission qui pourrait le conduire à sauver les derniers hommes d'une menace obscure... mais aussi à se découvrir lui-même à travers des rencontres inattendues.
Un thriller fantastique inoubliable, traduit dans une vingtaine de langues, qui s'est vendu à 1,5 million d'exemplaires et a été adapté en jeux vidéo (Metro 2033 et Metro : Last Light).
Tout simplement excellent !
L'Écran fantastique.
Un roman de SF post-apocalyptique efficace et intelligent.
Bifrost.
De retour, après vingt-sept années, dans leur petite ville de Derry, les membres du « Club des ratés » (ainsi se nommaient-ils eux-mêmes sur les bancs de l'école) doivent affronter leurs plus terrifiants souvenirs, brutalement ressurgis.
ça : nul ne sait nommer autrement la chose inconnue qui semble devoir se réveiller cycliquement dans les entrailles de la ville, pour semer la mort et l'épouvante.
Roman de l'enfance, tableau saisissant de la vie américaine, cette oeuvre ambitieuse est une parabole du Mal enfoui, refoulé, et de la violence de ses réapparitions. C'est enfin, et surtout, une des plus grandes oeuvres de Stephen King, un festival de terreur.
Enfermée derrière deux murailles immenses, la cité est une mégalopole surpeuplée, constituée de multiples duchés. Commis d'épicerie sur le port, Nox est lié depuis son enfance à la maison de la Caouane, la tortue de mer. Il partage son temps entre livraisons de vins prestigieux et sessions de poésie avec ses amis. Après un coup d'éclat, il hérite d'un livre de poésie qui raconte l'origine de la cité. Très vite, Nox se rend compte que le texte fait écho à sa propre histoire. Malgré lui, il se retrouve emporté dans des enjeux politiques qui le dépassent, et confronté à la part sombre de sa ville, une cité-miroir peuplée de monstres.
Stephen King Misery Misery, c'est le nom de l'héroïne populaire qui a rapporté des millions de dollars au romancier Paul Sheldon. Après quoi il en a eu assez : il a fait mourir Misery pour écrire enfin le « vrai » roman dont il rêvait.
Et puis il a suffi de quelques verres de trop et d'une route enneigée, dans un coin perdu... Lorsqu'il reprend conscience, il est allongé sur un lit, les jambes broyées dans l'accident. Sauvé par une femme, Annie. Une admiratrice fervente.
Qui ne lui pardonne pas d'avoir tué Misery.
Et le supplice va commencer.
Sans monstres ni fantômes, un Stephen King au sommet de sa puissance nous enferme ici dans le plus terrifiant huis clos qu'on puisse imaginer.
En 2033, les humains ont été chassés de la surface, désormais inhabitable. À Paris, les survivants se sont réfugiés dans les profondeurs du métropolitain. Des communautés sont installées au niveau de certaines stations de Rive Gauche, plus ou moins en contact, souvent en conflit ; la surface est crainte parce qu'irradiée ; Rive Droite est un lieu maudit.
Dans les méandres des boyaux de Paris, Madone de Bac tente de sauver ce qu'il reste de la population parisienne, quitte à faire usage de la force. Car dans le métro, à défaut de lumière, les émotions sont plus vives, les rancoeurs plus tenaces, les haines plus exacerbées.
Premier volet de la trilogie Métro Paris 2033, Rive Gauche est une oeuvre sombre et baroque.
2034. La station Sevastopolskaya produit de l'électricité qui alimente le métro moscovite, mais la dernière caravane d'approvisionnement n'est jamais réapparue, pas plus que les groupes de reconnaissance envoyés à sa recherche...
Ils seront trois à devoir résoudre cette énigme. Hunter, le combattant impitoyable revenu d'entre les morts, rongé de l'intérieur par les ténèbres ; Homère, qui a tout perdu aux premiers instants de la guerre et projette d'ériger un mémorial à l'humanité disparue ; Sacha, enfin, toute jeune fille qu'ils trouveront sur leur route dans une station où elle a vécu en exil avec son père.
Publié en Russie en 2009, Métro 2034 a suivi la carrière de best-seller international de Métro 2033.
Sombre, violent, parsemé de discussions élevées, les qualités du premier opus se retrouvent ici. L'Écran fantastique.
Une suite réussie ! Actu SF.
« Salem est l'un de mes meilleurs romans, l'un des plus effrayants aussi. Alors, éteignez la télévision, et parlons vampires dans la pénombre, je pense pouvoir vous faire croire en leur existence. » Stephen King, juin 2005.
Le Maine, 1970. Ben Mears revient à Salem et s'installe à Marsten House, inhabitée depuis la mort tragique de ses propriétaires, vingt-cinq ans auparavant. Mais, très vite, il doit se rendre à l'évidence : il se passe des choses étranges dans cette petite bourgade. Un chien est immolé, un enfant disparaît, et l'horreur s'infiltre, se répand, aussi inéluctable que la nuit qui descend sur Salem.
En bonus : Deux nouvelles inédites sur le village de Salem. De nombreuses scènes coupées que Stephen King souhaitait faire découvrir à son public.
Jonathan Harker, jeune notaire, est envoyé en Transylvanie pour rencontrer un client, le comte Dracula, nouveau propriétaire d'un domaine à Londres. à son arrivée, il découvre un pays mystérieux et menaçant, dont les habitants se signent au nom de Dracula. Malgré la bienveillance de son hôte, le jeune clerc ne peut qu'éprouver une angoisse grandissante. Très vite, il se rend à la terrifiante évidence : il est prisonnier d'un homme qui n'est pas un homme. Et qui partira bientôt hanter les nuits de Londres... Grand classique de la littérature de vampires, best-seller de tous les temps après la Bible, Dracula est une source d'inspiration inépuisable. En exclusivité : un extrait de Dracula l'Immortel, suite de Dracula, d'après les notes originales de Bram Stoker.
Une mère puritaine obsédée par le diable et le péché; des camarades de classe dont elle est le souffre-douleur : Carrie est profondément malheureuse, laide, toujours perdante. Mais à 16 ans resurgit en elle le souvenir d'un "don" étrange : de par sa seule volonté elle pouvait déplacer les objets à distance. Et ce pouvoir réapparaît aujourd'hui, plus impétueux, plus impatient...
Ça commence par la mort d'un chien, par des bruits de pas étouffés, par la confiscation de livres. Par le sac de la National Gallery, purgée de ses oeuvres. Puis viennent les miradors, érigés pour surveiller les côtes, et des hommes armés, qui parcourent les campagnes en détruisant chaque oeuvre d'art qu'ils dénichent... et ceux qui cherchent à les protéger. Ils capturent les dissidents - les écrivains, les peintres, les musiciens et même les célibataires et les couples sans enfants - lors de vastes rafles. Ils veulent soigner la société des personnalités subversives. Mais quelques survivants ont réussi à fonder en secret un havre de paix pour les réfugiés culturels, leur permettant de préserver leur art, de créer, d'aimer et de se souvenir. Du moins, jusqu'à ce qu'on les découvre, ou qu'on les dénonce.Traduit de l'anglais par Patrick Imbert.
En l'espace de deux semaines, une grippe foudroyante aux graves symptômes respiratoires a causé l'effondrement de la civilisation. Vingt ans plus tard, parmi les rescapés, une troupe d'acteurs et de musiciens parcourt la région du lac Michigan et tente de préserver l'espoir en jouant du Shakespeare et du Beethoven. Ceux qui ont connu l'ancien monde l'évoquent avec nostalgie, tandis que la nouvelle génération peine à se le représenter.
Sur plusieurs décennies, entre le passé et le présent, les destinées des personnages s'entrelacent. Si la vie semble encore possible, l'obscurantisme guette, menaçant les rêves et l'avenir des survivants.
Issu d'une famille de pêcheurs, Liesse doit quitter son village natal à la mort de son père. Fruste mais malin, il parvient à faire son chemin dans le comptoir commercial où il a été placé. Au point d'être choisi comme secrétaire par Malvine Zélina de Félarasie, une jeune femme de prestigieuse ascendance, promise à un grand avenir politique. Dans son sillage, Liesse va s'embarquer pour un ambitieux voyage loin de ses îles et devenir, au fil des ans, le témoin privilégié de la fin d'un empire.
Un émouvant récit de vies bouillonnantes refusant de se résoudre à un seul destin.
Le corps martyrisé d'un garçon de onze ans est retrouvé dans le parc de Flint City. Témoins et empreintes digitales désignent aussitôt le coupable : Terry Maitland, l'un des habitants les plus respectés de la ville, entraîneur de l'équipe locale de baseball, professeur d'anglais, marié et père de deux fillettes. Et les résultats des analyses ADN ne laissent aucune place au doute. Pourtant, malgré l'évidence, Terry Maitland affirme qu'il est innocent. Et si c'était vrai ?
2035. Station VDNKh. Artyom est retourné y vivre. C'est un héros brisé, obsédé par l'idée que c'est à la surface qu'est le salut de l'humanité. Les Noirs anéantis, un souvenir le taraude, celui de la voix qu'il a entendue sur une radio militaire, deux ans plus tôt, quand il était au sommet de la tour Ostankino avec les stalkers. Aussi, depuis son retour, il remonte quotidiennement à la surface et escalade des gratte-ciel en ruines pour tenter d'entrer en contact avec des survivants. Tenu pour fou, Artyom sombre peu à peu. Mais l'arrivée d'Homère bouleverse la situation : le vieil homme prétend en effet que des contacts radio ont déjà été établis avec d'autres enclaves.
Ce nouvel et dernier opus de la saga traduite en plus de trente langues et adaptée en jeux vidéo est le point de convergence de toutes les trames narratives mises en place par l'auteur.
Dans un monde postapocalyptique, quelques milliers de survivants vivent dans un silo souterrain de 144 étages. Presque tout y est interdit ou contrôlé, y compris les naissances. Ceux qui enfreignent la loi sont expulsés en dehors du silo, où l'air est toxique. Avant de mourir, ils doivent nettoyer les capteurs qui retransmettent des images brouillées du monde extérieur sur un écran géant. Mais certains commencent à douter de ce qui se passe réellement dehors.
Hugh Howey est un phénomène éditorial mais aussi un auteur qui sait manier les thèmes sociaux, politiques tout en maintenant une tension fictionnelle très forte.
Christine Ferniot, Télérama.
Silo est un projet littéraire à l'image de l'habitacle qu'il décrit: simple, mais grouillant et hors norme. Une révélation. Hubert Artus, L'Express.
Louis Creed, un jeune médecin de Chicago, vient s'installer avec sa famille à Ludlow, petite bourgade du Maine. Leur voisin, le vieux Jud Crandall, les emmène visiter le pittoresque « simetierre » où des générations d'enfants ont enterré leurs animaux familiers. Mais, au-delà de ce « simetierre », tout au fond de la forêt, se trouvent les terres sacrées des Indiens, lieu interdit qui séduit pourtant par ses monstrueuses promesses.
Un drame atroce va bientôt déchirer l'existence des Creed, et l'on se trouve happé dans un suspense cauchemardesque...
Simetierre, classé au premier rang des best-sellers mondiaux, avant ça ou Misery, a été adapté au cinéma par Stephen King lui-même et réalisé par Mary Lambert.
Saigné à blanc par des luttes intestines, d'interminables guerres et plusieurs confrontations sanglantes avec le Seigneur Anomander Rake et ses Tistes Andii, le tentaculaire Empire Malazéen frémit de mécontentement.
Les légions impériales elles-mêmes aspirent à un peu de répit. Pour le sergent Mésangeai et ses Brûleurs de Ponts, ainsi que pour Loquevoile, seule sorcière survivante de la 2e armée, les contrecoups du siège de Pale auraient dû représenter un temps de deuil. Mais Darujhistan, la dernière des Villes libres de Genabackis, tient encore et toujours bon et l'ambition de l'Impératrice Laseen ne connaît aucune limite.
Cependant, il semble que l'Empire ne soit pas la seule puissance impliquée. De sinistres forces sont à l'oeuvre dans l'ombre, tandis que les dieux eux-mêmes se préparent à abattre leurs cartes...
Des hackeuses cryogénisées décidées à se venger de leurs ennemis, des travailleurs bardés d'implants, des amants dont le seul contact se fait via leur combinaison connectée, des chimpanzés policiers et leurs partenaires humains, des robots dans un nouvel âge de pierre ou encore des extraterrestres qui, depuis leur berceau aquatique, n'ont jamais vu les étoiles, se côtoient dans ce recueil. À l'âge du silicium, qu'est-ce que la conscience ? Qu'est-ce qu'être humain ? Ces vingt-huit nouvelles, des idées fortes au service d'histoires frappantes, sont le sel de la science-fiction, le coeur battant du genre.Rich Larson s'impose sans conteste comme la quintessence, la synthèse parfaite sortie de l'athanor de ses prestigieux aînés. Le Culte d'Apophis.Une SF vive, saillante, politique, parfois acide, toujours surprenante. « La Méthode scientifique », France Culture.Une écriture aussi imaginative que dense. nooSFere.GRAND PRIX DE L'IMAGINAIRE 2021 - NOUVELLE ÉTRANGÈRE.Traduit de l'anglais (Canada) par Pierre-Paul Durastanti.
Sur le vaste continent de Sept-Cités, au coeur du Saint-Désert de Raraku, l'oracle Sha'ik rassemble son immense armée. Son objectif : déchaîner le Tourbillon, un soulèvement prophétisé depuis des siècles et qui deviendra l'un des conflits les plus sanglants que le monde ait jamais connus. Dans les mines d'otataral, Félisine rêve de se venger de sa soeur, nouvelle adjointe de l'impératrice Laseen, qui l'a condamnée à l'esclavage. Pour parvenir à ses fins, la jeune fille devra s'associer à un ancien prêtre de Fener et à une brute mystérieuse. Pendant ce temps, deux Brûleurs de Ponts désormais hors-la-loi se sont promis de ramener la jeune Apsalar chez elle et d'éliminer l'impératrice.
C'est à ce moment précis que choisissent de revenir errer sur ces terres ravagées deux vagabonds, Mappo et son compagnon Icarium, porteurs d'un secret dévastateur caché au coeur des ténèbres et qui pourrait bien les engloutir tous.Traduit de l'anglais (Canada) par Nicolas Merrien.
Le continent ravagé de Genabackis a donné naissance à un nouvel empire terrifiant : le Domin de Pannion. Telle une marée de sang corrompu, il dévore ceux qui refusent de se soumettre à la sainte parole de son tyran fanatique. Pour l'affronter, l'Ost de Dujek Unbras et les Brûleurs de Ponts de Mésangeai et de Ganoes Paran devront forger une alliance avec leurs vieux ennemis.
Mais ce ne sont pas les seuls événements qui se trament. Les clans t'lan imass se sont également réveillés, répondant à l'appel de l'antique rassemblement qui scellera leur destinée. Dans l'ombre, une infection se propage, souillant la chair de Brûle, la Déesse Endormie elle-même. À Morn, une déchirure écarlate porte la trace du Chaos, promesse d'une effroyable renaissance. Et partout l'on raconte que le Dieu Estropié, désormais libéré de ses chaînes, chercherait à assouvir son impitoyable vengeance...Marquant le retour de bon nombre de personnages des Jardins de la Lune, Les Souvenirs de la Glace se pose comme un chapitre capital au sein de l'éblouissant cycle de fantasy épique de Steven Erikson.Traduit de l'anglais (Canada) par Nicolas Merrien.
Depuis des siècles, le sable a tout englouti. À la surface, battu par les vents et harcelé par des dunes mouvantes, un nouveau monde essaie tant bien que mal de survivre. À sa tête, les plongeurs, une petite élite qui descend toujours plus profond à la recherche des artefacts de jadis, prisés comme autant de trésors. L'un de ces plongeurs s'apprête à partir à la recherche de Danvar, la cité mythique objet de tous les fantasmes. Pour espérer la trouver, Palmer sait qu'il lui faudra atteindre des profondeurs jamais encore explorées. Et si elle n'existe pas, sa combinaison de plongée sera son sarcophage.Portraits attachants, idée envoûtante, puissance d'évocation... On sent le sable qui s'infiltre. Hubert Prolongeau, Télérama.Hugh Howey fait une nouvelle fois montre de ses talents de créateur de monde dystopique et d'écrivain de science-fiction haletante. Guillaume Ledit, Usbek & Rica.Traduit de l'anglais (États-Unis) par Thierry Arson.