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Si tu pouvais décrocher la lune...
Tu la chercherais encore la nuit ?
Tu serais tout le temps dedans ?
Tu voyagerais ?
Tu funambulerais ?
Tu jouerais à saute-mouton ?
A cache-cache ?...
A l'aide du célèbre jeu tangram, Simon Priem revisite avec beaucoup de poésie et de tendresse le pouvoir fascinant de la lune sur notre imaginaire. Il invite les petits comme les grands à poursuivre l'aventure et à décrocher la lune en assemblant les pièces de ses rêves.
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Sois comme ci, sois comme ça ! ».
Au-delà des paroles et des « bons conseils », trouve ton propre chemin, ce qui te convient vraiment et ainsi... fais ce qu'il te plaît !
C'est bien le credo de ce nouveau Mouchoir de poche signé Michel Boucher. L'auteur s'amuse avec et les phrases qu'il transforme et dont il cache des mots pour que les enfants découvrent le plaisir de lire entre les lignes et s'émancipent des pensées figées.
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Un garçon prend régulièrement son vélo pour rendre visite à son frère enterré dans le cimetière. Sur un petit carnet, il note ce qu'il voit, ce qu'il fait, ce qu'il pense. Les jours passent, puis les mois, les années... Un texte magnifique de Nicole Dedonder, plein de délicatesse, d'émotion, d'humour, de tendresse et de vie.
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Qui n'a pas eu, enfant, de petites manies, de petites habitudes suivies comme des porte-bonheur pour conjurer ses peurs ?
La grande habileté de Séverine Vidal est de l'évoquer sans dramatisation, avec beaucoup d'humour et de tendresse.
Séverine Vidal a eu l'idée, pour accompagner graphiquement son texte, de réaliser des compositions en fil de fer.
Selon le principe de la collection « Mouchoir de poche », afin de mettre l'accent sur l'écrivain, Séverine Vidal accompagne elle-même graphiquement son texte, en réalisant des compositions en fil de fer.
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Un hymne à la vie, une très poétique déclaration d'amour aux éléments, aux êtres, aux choses avec un personnage lunaire qui fait penser parfois au Plume d'Henri Michaux.
Selon le principe de la collection Mouchoir de Poche, et afin de mettre l'accent sur l'auteur, c'est Pierre Soletti qui a réalisé lui-même les compositions graphiques accompagnant ces mots qui font tout percevoir autrement.
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Il y a des pêcheurs de carpes, des pêcheurs de sardines.
Et il y a des pêcheurs de mots...
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L'auteur de « AH ! LA VACHE ! » est inconnu puisqu'il s'agit d'un devoir anonyme rédigé par un élève des années cinquante. Sa composition est incroyablement drôle, mais d'une réelle poésie aussi. On rit vraiment beaucoup, mais on ne rit pas contre l'élève, nullement pour se moquer. Il y a des trouvailles, sans doute involontaires, mais étonnantes et si savoureuses.
François Gauthier illustre la rédaction avec invention, talent et énormément d'humour. Il y a également un côté « carte à gratter » dans la reproduction des illustrations et cela confère à ce petit livre un charme supplémentaire.
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Depuis qu.il a entendu son père dire qu.il était « un attardé », un enfant, se sent prêt à tout pour obtenir son estime et son amour.
Un petit livre très émouvant qui fait découvrir de l.intérieur le ressenti du jeune garçon...
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"Où vont les ombres ?" est un ouvrage particulièrement poétique et émouvant, tout en suggestions subtiles, accompagné d'illustrations de l'auteur qui donnent, elles aussi, à rêver.
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Merlin est né un beau matin sur une feuille de patate sauvage.
Son oeil est plus pointu qu'un bec de héron. Son oreille, plus ronde qu'un cercle tracé au compas.
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Maman poule n'avait eu que trois oeufs cette année-là, deux filles et un garçon.
Un garçon, enfin... un garçon pas tout à fait comme les autres : un peu plus gros, un peu plus empoté, plus timide, plus fragile.
La grosse louise l'avait surnommé le petit chapon rond rouge.
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oh ! ils arrivent ! ils me poursuivent ! ils vont à toute vitesse, j'ai peur qu'ils courent plus vite que moi ! ils font de drôles de têtes ! ils rient ! au secours !.
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La fabuleuse aventure de Frida Cabot est un livre réellement très original, le tout premier de Lise Renaux dont les compositions étonnantes, "cousues main", sont proches de l'art naïf. On y suit les désopilantes et touchantes més/aventures de Frida Cabot, une petite chienne espiègle qui craint de se laisser habiller pour l'hiver. Et l'auteure aime jouer avec les mots autant qu'avec les formes. Un très joli petit livre, drôle et attachant, qui révèle un univers vraiment personnel, riche d'imagination et d'une si précieuse liberté d'invention.
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Dans ce joli petit livre, un loup se compare aux espèces différentes et il envie leurs avantages avant de découvrir que les autres bêtes ne sont pas plus satisfaites de leur sort. Alors peu à peu il retrouve... le goût d'être un loup.
Selon le principe de la collection « Mouchoir de poche », afin de mettre l'accent sur l'écrivain, Catherine Leblanc accompagne elle-même graphiquement son texte, notamment en plaçant des empreintes de pas sur la page et en composant des calligrammes.
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Dans "j'en ai assez !", page après page, Michel Boucher s'amuse à reproduire apparemment la même image... et pourtant pas exactement : il ajoute, chaque fois, un élément qui fait évoluer l'histoire et finalement qui change tout. Et le livre, en apparence tout simple, devient comme un livre animé... animé des rêves fous et tendres d'un petit garçon à l'aube de sa journée.
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C'est Antoine, mon garçon, mon Toinou.
C'est un bon garçon, aussi il ne faut pas croire que ce qu'on croit, parce que quelquefois c'est dangereux.
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« YI ET YO » manifeste l'écriture si personnelle, si atypique de David Dumortier dont presque chaque ouvrage est un événement tant il se démarque de la production générale. Il réussit ici, en très peu de pages, à faire vivre deux personnages énigmatiques, deux amis qui surprennent autant qu'ils se surprennent. Ils existent, ils questionnent et, en même temps, l'auteur veille à leur conserver tout leur mystère.
La langue de David Dumortier, précise, suggestive, mais toute en retenue, est vraiment magnifique. C'est un petit livre au charme puissant, le livre dense d'un authentique auteur.
Selon le principe de la collection, David Dumortier accompagne lui-même graphiquement son récit poétique. On a l'impression de le voir faire le geste. Le dessin sobre et sûr qu'il trace évoque la calligraphie. Il y a quelque chose d'un peu oriental dans cette approche, une concision tout à fait en accord avec le propos, intense, et pourtant d'une grande économie de moyens.
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Qui est cet affreux Krnouk qui fait peur à toute la famille ? On sent qu.il est présent, pourtant jamais on ne l.évoque. Une petite fille, Zélie, va tout faire pour qu.enfin ON EN PARLE !
Une approche pleine d.humour sur les peurs et les non-dits.
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L'enfant qui avait peur du silence
Thierry Cazals
- MOTUS
- Mouchoir De Poche
- 21 Mars 2005
- 9782907354608
Igor avait peur du silence.
L'absence de bruit le plongeait dans une panique effroyable.... c'est comme si du ciment frais coulait au fond de sa bouche.
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Plus tard, je n'aurai jamais de poils dans les oreilles.
Plus tard, je n'aurai jamais de fausses dents ni de rides... plus tard.
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Un jour quand je serai aussi grande que Martha et même que maman je voudrais que moi je n'oublie pas comme moi si petite pourtant j'en connais déjà tellement sur les grands et la vie.
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Le livre joue avec beaucoup d.esprit et d.ingéniosité sur les départements français. On suit le personnage dans un parcours où elle est confrontée aux mots en même temps qu.à l.espace. Et il y a le plaisir de retrouver et, surtout, de faire découvrir aux enfants, de façon tout à fait inattendue et drôle, les noms des départements.
Pour Michel Boucher, et son idée si propre à constituer un très joli Mouchoir de poche, Motus a fait une entorse au principe de la collection en accueillant à nouveau, avec un vif plaisir, cet illustrateur de renom.
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Un jour, les animaux en eurent assez. Assez de manger de l'herbe toute roussie. Assez de boire de l'eau croupie. Assez d'avoir la vue obscurcie. Ils dirent au vent : « Nous voulons être tranquilles, cesse donc ta course folle ! » Le vent tourbillonna de plus belle en lançant : « Dans ce cas, attrapez-moi ! » « Plus vite que le vent » est un texte espiègle évoquant avec tendresse la « révolte » des animaux contre le vent qui fait trop de ravages.
Selon le principe de la collection Mouchoir de poche, afin de mettre l'accent sur l'auteur, Corinne Boutry, qui n'est pas d'habitude illustratrice, a accompagné graphiquement elle-même son texte. Elle a choisi, pour ce faire, de découper du papier et de lui faire prendre des formes diverses.
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Dans UNE PETITE HEURE PERDUE le temps paraît d'abord long à l'enfant qui attend sa mère. Il rêve, il imagine et peu à peu, cette heure d'attente lui apparaît bien plus courte que prévu. Un livre plein de poésie qui porte attention avec tendresse à un « moment » rarement évoqué. Nathalie Hense a utilisé une carte à gratter pour l'accompagnement graphique de son texte.