Publié sous le nom de Kimetsu No Yaiba au Japon, Demon Slayer a été lancé en février 2016 dans les pages du célèbre magazine Weekly Shonen Jump. Véritable phénomène au Japon, dans la pure tradition des shonen nekketsu, cette série aux plus de 7 millions d'exemplaires vendus dans le monde est adaptée en anime, actuellement diffusé sur Wakanim TV sous le nom Demon Slayer : Kimetsu No Yaiba. Il existe à ce jour 15 tomes au Japon, preuve s'il en faut, du succès de la série.
Le Japon, au début du XXe siècle (ère Taisho). Un jeune vendeur de charbon nommé Tanjiro mène une vie sans histoire dans les montagnes, jusqu'au jour tragique où il découvre son village et sa famille massacrés par un démon. La seule survivante de cette tragédie est sa jeune soeur Nezuko. Hélas, au contact du démon, elle s'est métamorphosée en monstre féroce... Afin de renverser le processus et de venger sa famille, Tanjiro décide de partir en quête de vérité. Pour le jeune héros et sa soeur, c'est une longue aventure de sang et d'acier qui commence !
Publié sous le nom de Kimetsu No Yaiba au Japon, Demon Slayer a été lancé en février 2016 dans les pages du célèbre magazine Weekly Shonen Jump. Véritable phénomène au Japon, dans la pure tradition des shonen nekketsu, cette série aux plus de 7 millions d'exemplaires vendus dans le monde est adaptée en anime, actuellement diffusé sur Wakanim TV sous le nom Demon Slayer : Kimetsu No Yaiba. Il existe à ce jour 15 tomes au Japon, preuve s'il en faut, du succès de la série.
Alors qu'il passe l'ultime épreuve qui le sépare du statut de pourfendeur de démons, Tanjiro se trouve aux prises avec un monstre difforme et sanguinaire. Face à ce redoutable adversaire, notre héros déploie l'arsenal des techniques que lui a enseignées maître Urokodaki... Et il parvient à sortir victorieux de l'affrontement ! Après sept jours éprouvants dans l'enfer du mont Fujikasane, il est enfin libre de retourner chez le maître et retrouver sa jeune soeur Nezuko...
Tanjiro et Nezuko sont aux prises avec deux des «douze lunes démoniaques», le terrible bataillon d'élite aux ordres du machiavélique Kibutsuji. L'une utilise de puissantes balles qu'elle projette violemment sur ses adversaires, tandis que l'autre en dirige la trajectoire au moyen de flèches invisibles...
La lutte est acharnée, mais avec l'aide de Tamayo et Yushiro, nos héros s'en sortent victorieux... Ils acquièrent par la même occasion de précieux renseignements qui pourraient les aider à remonter la piste de Kibutsuji !
Alors qu'il sort épuisé mais victorieux de son combat contre l'ogre aux tambours, Tanjiro découvre Zenitsu en train de se faire rouer de coups par le mystérieux garçon à tête de sanglier. Sans hésiter, notre héros s'élance pour porter secours à son nouvel ami.
Mais qui est cet adversaire redoutable et que veut-il ? Et pourquoi porte-t-il deux sabres du soleil ? Tanjiro ne va pas tarder à le découvrir... Plus tard, une nouvelle mission entraîne Tanjiro et ses acolytes sur le mont Natagumo où les attend une épreuve terrifiante...
Une série atypique, entre conte, histoire d'horreur et shonen classique. L'histoire, qui se déroule dans le dépaysant Japon du début du XXe siècle, est bien écrite et bénéficie d'un dessin original et percutant. Tanjiro, Zenitsu et Inosuke combattent une famille de démons araignées. Tanjiro et ses compagnons essaient de sauver Nezuko prise dans une toile d'araignée, mais face à des ennemis aussi puissants, Tanjiro doit faire appel à sa grande habileté et à la chance ! La bataille attire d'autres pourfendeurs de démons, mais tous ne quitteront pas le mont Natagumo !
Tanjiro, Zenitsu et Inosuke sont partis en mission dans le quartier des plaisirs de Yoshiwara avec Tengen Uzui, le pilier du son. En effet, c'est là-bas que les trois kunoichis de Tengen, envoyées en reconnaissance pour débusquer un démon, ont disparu. Pour mener leur enquête dans les maisons des courtisanes, Tanjiro et ses compagnons doivent se déguiser en filles. Mais malgré tous leurs efforts, le démon semble introuvable.
Nos héros réussiront-ils à le débusquer avant qu'il ne dévore les courtisanes ? ! Porté par l'immense succès de l'anime, le manga Demon Slayer est devenu un véritable phénomène de société au Japon, à tel point que début février 2020, la série a occupé les 10 premières places du classement des meilleures ventes Oricon ! La collaboration au Japon avec le jeu mobile "Monster Strike" vient d'être annoncée et la suite de la première saison de l'animé, le film "le train de l'infini" , est attendue au cinéma.
En France, l'oeuvre de Gotouge Koyoharu ne cesse de gagner en popularité, le tome 1 se classe dans le top 15 hebdomadaire GfK !
Pour la première fois depuis 113 ans, un démon de la Lune supérieure a été battu. Hors de lui, Muzan convoque les autres démons de la lune supérieure afin de leur ordonner d'intensifier l'attaque contre les pourfendeurs. Lors de la bataille contre Dahi et Gyutaro, le sabre de Tanjiro a été brisé.
Tandis qu'il est à la recherche d'un nouveau sabre, Tanjiro visite le village caché des forgerons où se trouve Haganezuka.
C'est à la suite de sa rencontre avec Masachika Kumeno, un adepte du souffle du vent, que le jeune Sanemi découvrira l'existence des pourfendeurs de démons. Alors qu'ils travaillent très dur pour atteindre le statut de pilier, ces deux amis doivent remplir une mission assez particulière... Quatre autres histoires inédites racontent ce pan inconnu de l'histoire de Sanemi Shinazugawa !
Nous approchons du grand final tant attendu par les fans. Mais ce final ne signifie pas la fin de l'engouement pour la série phénomène vendue à près de 4 millions d'exemplaires en France depuis la parution du tome 1. Tandis que la deuxième saison de l'anime est actuellement en cours de diffusion sur Wakanim et Crunchyroll, de nombreux projets fleurissent au Japon autour de la licence. Le phénomène Demon Slayer n'est pas prêt de s'arrêter !
Himejima a sauvé la vie de Kanae et de Shinobu dont les parents ont été assassinés par des démons. Lorsqu'elles lui font part de leur volonté de rejoindre les pourfendeurs de démons, il leur fait passer une épreuve un peu spéciale... Dans ce recueil de cinq nouvelles, vous découvrirez le visage caché des très populaires piliers ! Et en conclusion, une nouvelle aventure inédite au sein de l'école des Pourfendeurs !
Milieu du dix-neuvième siècle au Japon. Une femme meurt emportée par l'épidémie de choléra qui ravage le pays, elle laisse deux jeunes enfants livrés à eux-mêmes : Shotaro, 14 ans et Gentaro, 10 ans. Suivant les dernières recommandations de leur mère, ils savent que pour survivre, ils devront devenir forts car les faibles sont voués à mourir. Ils se mettent alors en quête d'un maître qui leur apprendra à manier le sabre pour devenir comme leur défunt père, un samouraï. Ces innocents orphelins sont loin de s'imaginer combien le monde qui les entoure peut-être sans pitié envers ceux qui ne savent se défendre...
En une trentaine d'années de carrière et une quinzaine d'oeuvres, Tsutomu Takahashi s'est imposé comme l'un des grands noms du seinen au pays du Soleil Levant. Il a également formé Tsutomu Nihei, l'auteur de Blame! Repéré en 1987 par la maison d'édition Kodansha, il prend son indépendance en 1989 avec Jiraishin. C'est un maître du suspense et du surnaturel. Il aime mettre en scène des anti-héros non conformistes confrontés à un destin surnaturel ou violent.
Takahashi raconte dans Sidooh un pan de l'histoire du Japon : le Bakumatsu. Ce mot désigne une période mouvementée durant laquelle le Japon s'ouvrait au monde extérieur. À travers le périple de ses deux jeunes protagonistes, il nous conte cette histoire douloureuse qui a vu s'effondrer le shogunat, remplacé par un régime impérial moderne.
Shotaro apprend qu'il va être sacrifié au cours d'un combat truqué, organisé par les « coeurs purs » dans le cadre d'un spectacle donné devant les dignitaires d'Edo. Sa seule chance de s'en sortir est de se battre. Mais en deux nuits, comment le jeune garçon pourrait-il apprendre à manier suffisamment bien le katana pour rivaliser avec un adversaire surentraîné ?
En une trentaine d'années de carrière et une quinzaine d'oeuvres, Tsutomu Takahashi s'est imposé comme l'un des grands noms du seinen au pays du Soleil Levant. Il a également formé Tsutomu Nihei, l'auteur de Blame! Repéré en 1987 par la maison d'édition Kodansha, il prend son indépendance en 1989 avec Jiraishin. C'est un maître du suspense et du surnaturel. Il aime mettre en scène des anti-héros non conformistes confrontés à un destin surnaturel ou violent.
Takahashi raconte dans Sidooh un pan de l'histoire du Japon : le Bakumatsu. Ce mot désigne une période mouvementée durant laquelle le Japon s'ouvrait au monde extérieur. À travers le périple de ses deux jeunes protagonistes, il nous conte cette histoire douloureuse qui a vu s'effondrer le shogunat, remplacé par un régime impérial moderne.
Tanjiro, Zenitsu, Inosuke et Nezuko séjournent dans un village pour soigner les blessures qu'ils ont subies au cours de leur dernière mission. Dans ce village, Tanjiro assiste à une cérémonie de mariage et aperçoit la mariée qui a l'âge de Nezuko. Il commence alors à imaginer l'avenir de sa soeur bien-aimée. Pendant ce temps, il apprend la légende d'une fleur qui apporterait le bonheur à ceux qui la trouvent....
Demon Slayer est le titre de tous les records. Chaque fois que le manga de Koyoharu Gotouge est cité, un nouvel exploit est atteint ! Un an après sa publication en France, le premier tome est entré dans les dix plus grosses ventes de manga en 2020 (Classement Gfk). Le film Le train de l'infini a généré 32,5 milliards de yens de recette, il a battu le record du box-office au Japon, détrônant ainsi le Voyage de Chihiro ! La chanson thème de l'anime domine aussi les charts nippons...
Les lunes supérieures Gyokko et Hantengu ont attaqué le village caché des forgeurs de sabres. Tandis que Tanjiro, Genya et Nezuko font face à Hantengu (qui se dédouble à chaque fois qu'on lui coupe un membre), Tokito, le pilier de la Brume, et Kanroji, le pilier de l'Amour, affrontent Gyokko et son vase tout droit sorti d'un cauchemar. Quatre pourfendeurs de démons, dont deux piliers, et un démon seront-ils assez forts pour vaincre deux lunes supérieures ?
Dans l'arène de la résidence des coeurs purs, Shotaro livre un combat difficile contre Asaji, un jeune prodige du combat appartenant à la terrible dorentaï. Malgré son manque d'entrainement, le jeune captif parvient à toucher son adversaire mais affamé, blessé et peu sûr de lui, le jeune garçon sent le piège se refermer. En une trentaine d'années de carrière et une quinzaine d'oeuvres, Tsutomu Takahashi s'est imposé comme l'un des grands noms du seinen au pays du Soleil Levant.
Il a également formé Tsutomu Nihei, l'auteur de Blame ! Repéré en 1987 par la maison d'édition Kodansha, il prend son indépendance en 1989 avec Jiraishin. C'est un maître du suspense et du surnaturel. Il aime mettre en scène des anti-héros non conformistes confrontés à un destin surnaturel ou violent. Takahashi raconte dans Sidooh un pan de l'histoire du Japon : le Bakumatsu. Ce mot désigne une période mouvementée durant laquelle le Japon s'ouvrait au monde extérieur.
A travers le périple de ses deux jeunes protagonistes, il nous conte cette histoire douloureuse qui a vu s'effondrer le shogunat, remplacé par un régime impérial moderne.
Désormais membres du bataillon blanc de Kiyozo Asakura, Gentaro et Shotaro se rendent à Edo, où ils ont rejoint les rebelles qui veulent renverser le Bakufu. Alors qu'ils s'apprêtent à partir pour Yokohama, ils sont attaqués de nuit par des hommes du gouvernement. Un baptême du feu sanglant pour le byakurentaï !
En une trentaine d'années de carrière et une quinzaine d'oeuvres, Tsutomu Takahashi s'est imposé comme l'un des grands noms du seinen au pays du Soleil Levant. Il a également formé Tsutomu Nihei, l'auteur de Blame! Repéré en 1987 par la maison d'édition Kodansha, il prend son indépendance en 1989 avec Jiraishin. C'est un maître du suspense et du surnaturel. Il aime mettre en scène des anti-héros non conformistes confrontés à un destin surnaturel ou violent.
Takahashi raconte dans Sidooh un pan de l'histoire du Japon : le Bakumatsu. Ce mot désigne une période mouvementée durant laquelle le Japon s'ouvrait au monde extérieur. À travers le périple de ses deux jeunes protagonistes, il nous conte cette histoire douloureuse qui a vu s'effondrer le shogunat, remplacé par un régime impérial moderne.
Désormais privés de la couverture de " blanchisseurs " que les rebelles de Mito leur fournissaient avant d'être exterminés par le Bakufu, Kiyozo et les autres membres du Byakurentaï sont contraints d'élaborer un nouveau plan d'attaque pour remplir la mission qui leur a été confiée : couler le " navire noir " que les Américains ont amarré dans le port de Yokohama... - " Graphisme éblouissant " - Manganews En une trentaine d'années de carrière et une quinzaine d'oeuvres, Tsutomu Takahashi s'est imposé comme l'un des grands noms du seinen au pays du Soleil Levant.
Il a également formé Tsutomu Nihei, l'auteur de Blame ! Repéré en 1987 par la maison d'édition Kodansha, il prend son indépendance en 1989 avec Jiraishin. C'est un maître du suspense et du surnaturel. Il aime mettre en scène des anti-héros non conformistes confrontés à un destin surnaturel ou violent. Takahashi raconte dans Sidooh un pan de l'histoire du Japon : le Bakumatsu. Ce mot désigne une période mouvementée durant laquelle le Japon s'ouvrait au monde extérieur.
A travers le périple de ses deux jeunes protagonistes, il nous conte cette histoire douloureuse qui a vu s'effondrer le shogunat, remplacé par un régime impérial moderne.
Le « navire noir » est en flammes et les membres du Byakurentaï mènent leur attaque avec brio jusqu'au moment où les « étrangers » se mettent à utiliser les armes à feu. Ino est touché par une balle et s'écroule par terre. Il demande alors à Gen de le laisser et de s'enfuir, mais le garçon est furieux et ne compte pas en rester là. Dans un accès de rage, il fonce vers les membres du Bakufu, son sabre à la main.
Le capitaine Johnson, qui était à bord d'un autre vaisseau, refuse de voir le Byakurentaï couler le « navire noir ». Il donne alors l'ordre de sortir les canons et de faire feu sur le bateau en flammes.
En une trentaine d'années de carrière et une quinzaine d'oeuvres, Tsutomu Takahashi s'est imposé comme l'un des grands noms du seinen au pays du Soleil Levant. Il a également formé Tsutomu Nihei, l'auteur de Blame! Repéré en 1987 par la maison d'édition Kodansha, il prend son indépendance en 1989 avec Jiraishin. C'est un maître du suspense et du surnaturel. Il aime mettre en scène des anti-héros non conformistes confrontés à un destin surnaturel ou violent. Takahashi raconte dans Sidooh un pan de l'histoire du Japon : le Bakumatsu. Ce mot désigne une période mouvementée durant laquelle le Japon s'ouvrait au monde extérieur. À travers le périple de ses deux jeunes protagonistes, il nous conte cette histoire douloureuse qui a vu s'effondrer le shogunat, remplacé par un régime impérial moderne.
Shiki est professeur de collège. C'est un citoyen honnête, un homme serviable... un homme bien sous tous rapports. De gros problèmes d'argent ternissent cependant le tableau. Une nuit, dans un bar, il rencontre une femme qui lui offre 5 millions de yens pour assassiner un homme. En proie aux doutes, Shiki finit cependant par accepter mais à une condition : il ne tuera que des criminels. Il accomplit ses missions avec Yang, un homme ombrageux, et reçoit un couteau comme outil de travail.
Yua Kotegawa est reconnue pour ses thématiques ô combien singulières et sombres. L'auteure de Détenu 042 et Anne Freaks propose ici une intrigue simple et redoutable qui rappelle la question posée dans Death Note : un meurtre est-il justifié si la victime est un criminel ? La mangaka édulcore la vision manichéenne de l'être humain selon laquelle les individus sont bons ou mauvais. Elle instaure la notion de gris, de demi-teinte en mettant en avant la jeunesse mise de côté par la société japonaise ou les victimes de l'immigration.
Alors que la police perquisitionne son domicile, Shiki est toujours hospitalisé. Les troublantes paroles de Suzuki l'ont plongé dans le doute, dans la solitude de sa chambre, il s'interroge sur les intentions et la bienveillance de ses employeurs. Kuzumi, lui aussi, commence à avoir des soupçons, mais il n'a pas le temps d'y penser car Erika lui propose un nouveau contrat.
Le "jeu de la prison" vient d'entrer de manière spectaculaire dans sa deuxième semaine. Les candidats restants, Eyama et Katsumata, se retrouvent tous les deux obligés de participer à une compétition au cours de laquelle ils doivent forcer la "partenaire" de leur adversaire à révéler des informations secrètes. Pendant ce temps, l'organisateur du jeu, le mystérieux Kujima, statue sur le sort de Misaki, dont l'avenir reste incertain suite à son élimination...
Désireux de voir se terminer sans heurts le " jeu de l'interrogatoire" , Eyama et Katsumata tombent d'accord pour acheter et partager les informations qui leur sont réclamées. Mais tous deux découvrent dans le passé de Kirishima d'importants éléments particulièrement troublants... Comment ces découvertes vont-elles influencer la suite des événements ?
Alors que le "jeu de la prison" du mystérieux Kujima n'est commencé que depuis deux jours, Aito Eyama est déjà complètement transformé. Devançant de beaucoup les pires craintes de Harakawa, le jeune homme affirme même avoir commis son premier meurtre ! Cette nouvelle surprend fortement Harakawa puisqu'Eyama était censé savoir que l'assassinat, même involontaire, de sa "partenaire" le disqualifierait automatiquement du jeu. Serait-ce déjà la fin de l'expérience ou, au contraire, un nouveau commencement ?
Après un âpre combat contre l'extravagant Deathtoll, Suikyo quitte le puits des morts et s'élance en direction de la maison suivante :
Celle du Lion. Pendant ce temps, Ikki parvient à la maison des Gémeaux où il va devoir affronter le puissant chevalier Cain.
À moins qu'il ne tombe sur son frère jumeau, le terrible Abel ? Dans les deux cas, la lutte s'annonce rude !
Suikyo est mort. le surplis du Garuda se sépare de son corps, et Tenma le remplace par l'armure qu'il aurait souhaité que son défunt maître n'ait jamais quittée : l'armure de la Coupe...
Découvrant le décès de son émissaire, l'armée d'Hadès doit désormais envoyer un autre spectre pour continuer sa mission au Sanctuaire.
C'est Vermeer du Griffon qui est désigné pour le remplacer...