Nicholas Edwards vit à la Nouvelle-Orléans avec sa femme et sa fille, où il est l'un des deux associés d'une entreprise qui rénove et revend des maisons dévastées par le passage de l'ouragan Katrina. Entre sa famille et sa collection de timbres, il oublie peu à peu que dans une autre vie, son métier était d'éliminer des gens. Lorsque l'économie régresse et que ses affaires périclitent, un nouvel ouragan survient sous la forme d'un coup de téléphone de son ancien agent, l'énigmatique et truculente Dot, qui lui propose de reprendre du service et de redevenir l'homme qu'il fut : Keller, le tueur à gages.
De New York aux Caraïbes, et jusqu'au grand finale qui se déroule à Cheyenne, où une veuve lui demande de gérer la collection de timbres de son défunt mari, Keller va devoir franchir les turbulences du cyclone tout en préservant la vie de Nicholas Edwards...
Durant trente années, l'humanité a tenté de régler le problème des Brillants, ce pourcentage de la population né avec des dons hors du commun. Durant trente années, nous avons tout fait pour éviter une guerre civile dévastatrice.
Et nous avons échoué.
La Maison-Blanche est un tas de ruines fumantes. Madison Square Garden a été transformé en camp d'internement. Dans le Wyoming, une milice composée de milliers d'hommes armés est en marche vers une bataille apocalyptique.
Nick Cooper a passé sa vie à se battre pour ses enfants et son pays. Maintenant, alors que le monde chancelle au bord du précipice, il doit risquer tout ce qu'il aime pour affronter son vieil ennemi, un terroriste brillant aveuglé par ses idéaux au point de vouloir sacrifier l'avenir de l'humanité pour les atteindre.
Final explosif de la trilogie Les Brillants, qui voit les personnages des volumes précédents poussés au-delà de leurs limites physiques et morales, En lettres de feu déploie sans retenue les logiques de guerre - militaire, psychologique, politique, médiatique - dont la société contemporaine est le creuset infernal.
L'ancien militaire Daniel McEvoy s'apprête à quitter le monde sans foi ni loi de la pègre du New Jersey pour se concentrer sur sa nouvelle vie de patron de club. Mais lorsqu'il se retrouve au fond de l'Hudson, enfermé dans un taxi de la mort, après avoir été kidnappé par deux flics qui comptaient faire de lui le héros d'un snuff-movie, il comprend qu'il n'en a pas fini avec les manigances et les vengeances des barons du crime de Cloisters.
Si Dan veut survivre, il devra échapper à des malfrats qui se trouvent des deux côtés de la loi, et retrouver sa tante qui lui avait jadis tout appris sur l'art de caresser les filles.
Suite de Prise directe, Mauvaise prise déploie à nouveau toute la verve iconoclaste d'Eoin Colfer, qui s'exprime à travers une série de personnages superbement à côté de la plaque et de situations burlesques et irrésistibles. La mafia du New Jersey, cocasse et nourrie de culture télévisuelle, en version très noire.
Washington D.C. suffoque sous le soleil d'août et la capitale fédérale semble désertée par ses habitants. Sullivan Carter, journaliste, se rend au Capitole pour couvrir les débats sur la législation environnementale en vigueur dans les exploitations pétrolières du Golfe.
Alors qu'il traverse la Crypte, une fusillade éclate.
L'ancien reporter de guerre se rapproche au plus près de la scène pour couvrir en direct l'évènement. Dans un bureau, Sully découvre le corps mutilé de Barry Edmonds, représentant de l'Oklahoma et membre du comité des Affaire Indiennes, Insulaire et Alaskiennes, des pics à glace enfoncés dans les orbites. Quand l'équipe d'intervention arrive sur les lieux, le tireur a déjà disparu.
À la suite de la parution de son article, Terry Running Waters - amérindien au casier judiciaire bien rempli - prend contact avec Sullivan. Selon le tueur, les deux hommes auraient un point commun :
Leurs mères sont toutes deux mortes dans des circonstances troubles.
Quelques jours plus tard Terry est arrêté et interné au St. Elizabeths Hospital, l'institution psychiatrique de haute sécurité où sont enfermés les psychopathes les plus dangereux du pays.
Alors que l'enquête de police semble être arrivée à son terme et que Terry attend son jugement, Sullivan se rend dans l'Oklahoma. Persuadé que les enquêteurs ont fait fausse route, il se plonge dans l'histoire tourmentée de la famille Waters.
Earl Haack Junior a été élevé pour devenir un Machiavel armé d'un flingue et portant une étoile... Son père, shérif dans une petite ville du Nebraska située sur l'autoroute de la drogue arrivant du Mexique - la fameuse Interstate 80 -, lui a très tôt enseigné sa façon particulièrement radicale et expéditive de maintenir l'ordre des choses.
Lorsqu'après un passage par les Stups de Denver (où il perd définitivement ses illusions) il revient prendre la succession de son père, il sait déjà qu'on ne vainc pas le chaos. Tout au plus, on peut tenter de faire jeu égal - un jeu sans règles ni limites. Puisque la drogue et son commerce sont une donnée indépassable (surtout dans une société capitaliste marquée par la loi de l'offre et de la demande), la priorité principale de Haack sera donc de mettre sur pied un réseau de distribution composé de personnes qui lui sont redevables... Son père avait raison : l'ordre passe avant tout, et il exige son tribut de sang.
Dans le Wyoming, une petite fille perçoit en un clin d'oeil les secrets les plus sombres de tout un chacun. À New York, un homme décrypte les fluctuations des marchés financiers et engrange 300 milliards de rofit en une semaine. À Chicago, une femme maîtrise le don d'invisibilité en sachant d'instinct se placer là où personne ne regarde. On les appelle les «Brillants», et depuis les années 1980 1 % de la population naît avec ces capacités aussi exceptionnelles qu'inexplicables. Nick Cooper est l'un d'eux : agent fédéral, il a un don hors du commun pour traquer les terroristes. Sa nouvelle cible est l'homme le plus dangereux d'Amérique, un Brillant qui fait couler le sang et tente de provoquer une guerre civile entre surdoués et normaux. Mais pour l'arrêter, Cooper va devoir remettre en cause tout ce en quoi il croit, quitte à trahir les siens.