À propos

Azincourt, un joli nom de village, le vague souvenir d'une bataille perdue. Ce 25 octobre 1415, il pleut dru sur l'Artois. Quelques milliers de soldats anglais qui ne songent qu'à rentrer chez eux se retrouvent pris au piège par des Français en surnombre. Bottés, casqués, cuirassés, armés jusqu'aux dents, brandissant fièrement leurs étendards, tous les aristocrates de la cour de France se précipitent pour participer à la curée. Ils ont bien l'intention de se couvrir de gloire, dans la grande tradition de la chevalerie française. Aucun n'en reviendra vivant. Toutes les armées du monde ont, un jour ou l'autre, pris la pâtée, mais pour un désastre de cette ampleur, un seul mot s'impose:grandiose!Avec la verve qu'on lui connaît et son sens du détail qui tue, Jean Teulé nous raconte ces trois jours dantesques où, sous une pluie battante, des milliers d'hommes se sont massacrés dans un affrontement sanglant d'autant plus désastreux que cette bataille était parfaitement inutile.


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    Jean Teulé

  • Éditeur

    Mialet Barrault

  • Distributeur

    Union Distribution

  • Date de parution

    02/02/2022

  • Collection

    Litterature Francaise

  • EAN

    9782080243447

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    208 Pages

  • Longueur

    20.5 cm

  • Largeur

    13 cm

  • Épaisseur

    1.3 cm

  • Poids

    194 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Jean Teulé

Jean Teulé est l'auteur d'une quinzaine de romans, parmi lesquels, Je, François Villon ; Le Magasin des Suicides (traduit en dixneuf langues), adapté en 2012 par Patrice Leconte ; Darling, également porté sur les écrans avec Christine Carrière, avec Marina Foïs et Guillaume Canet ; Mangez-le si vous voulez ; Les Lois de la gravité, adapté au cinéma en 2013 par J.-P. Lilienfeld sous le titre Arrêtez-moi ! ; Le Montespan, et Fleur de tonnerre, adapté par Stéphanie Pillonca Kervern en 2016 avec Benjamin Biolay et Déborah François.
  Jean Teulé aime à se glisser dans l'ombre des poètes (Rimbaud, Verlaine, Villon et maintenant Baudelaire) que le temps et la postérité ont figés dans la pierre des mémoires collectives. Il leur prête sa sensibilité, son rire, sa gourmandise, sa sensualité, ses abîmes. Et soudain, la vie.

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